Itinéraire culturels de Constanta, Roumanie
I.1. La Cathédrale Orthodoxe "Saints Pierre et Paul"
Elle a été construite entre 1883-1885, selon les plans de l’architecte Alexandru Orascu et a un porche ouvert à l’entrée aussi que trois arcades. Le mobilier a été fabriqué en chêne, suivies des dessins de l’architecte Ion Mincu; certains de ses éléments sont décorées avec des pierres semi-précieuses et dorées. L’artiste Allemagne Wirnst a élaboré les fenêtres avec vitrail. L’évêque du Bas-Danube, Partenie Clinceni, a inauguré le bâtiment religieux le 22 mai 1895. Étant donné qu’elle a été affectée partiellement par un bombardement (3 août 1941), des amples travaux de restauration ont eu lieu. Les peintres Gh. Popescu et N. Dona Delavrancea ont exécuté la nouvelle peinture murale avec la technique fresco (1959-1965). Des saints martyres de centres religieux de Dobrogea, datés du principe du christianisme, sont aussi représentés dans les médaillions iconographiques (par exemples St. Chiril de la Axiopolis, St. Maxim et St. Emilian de la Durostorum). Depuis 1923 l’édifice poursuit le rôle de cathédrale, et de 2001 elle a le statut de monastère. Elle a le privilège d’héberger les reliques du St. Le Grand Martyre Pantelimon, St. Auxentius, St. Siméon le Stylite, les Saints Epictète et Astion.
I.2. L’Église romano-catholique "Saint Antoine de Padova" de Constanta a été construite entre 1935-1937, selon les plans et sous la direction de l’architecte Romano de Simon de Bucarest. L’église a été construite sur l’endroit de l’ancienne chapelle, élevée en 1885. L’édifice actuel est une basilique, construite selon le modelé de ceux du nord Italie, construite en briques apparentes, en style roman, spécifique au XIIIe siècle. L’intérieure de l’église est aussi construit en brique apparente, fait pour lequel il n’est pas besoin de travaux de plâtrerie.
I.3. La Mosquée Carol I
L’édifice a été construit avec des fonds publics au cours de la période 1910-1913 en pierre et brique, à l’exception de la voûte et du minaret, construite en béton précontraint. Elle a été élevée selon les plans élaborés par l’architecte Victor Gh. Stefanescu. La manière d’exécution appartient à l’inventeur Gogu Constantinescu est c’est le premier bâtiment construit en béton précontraint et brique en Roumanie. La mosquée, avec la surface 450 m², avec haute voûte de 25 m et minaret de 47 m (la marche intérieure a 140 escaliers), a été élevée sur l’endroit de l’ancienne mosquée (Mahmudia, construite en 1822), de laquelle on a conservé le mighrab (l’autel) en style Mauro. Les 99 attributs de la divinité sont écrits tout autour. Depuis 1965 la mosquée est pourvue parmi ses objets d’héritage d’un tapis large de 144 m² et pesant 490 kg, réalisées à la main il y a 200 années à Hereke (La Turquie), donné par le Sultan Abdul Hamid à la mosquée de l’Île Ada Kaleh, qui est maintenant inondé.
I.4. La Synagogue juive
Le temple de rite israélite dans le quartier péninsulaire de la ville a commencé à être construit en 1910 selon les plans de l’architecte Anghel Paunescu. Construit en pierre et brique, l’édifice présent une voûte met en avant par des profils décoratifs de forme arrondie, fenêtres étroites avec trois segments au premier niveau, à côté supérieur et des fenêtres rectangulaires au niveau inferieure. Le portail principal, qui initialement avait un escalier monumental, est plus étroit que le front de côté, montrant l’étoile de David à côté supérieur. L’intérieur est simple, contenant deux colonnades. L’édifice est actuellement dans un état avancé de dégradation.
I.5. La Mosquée Hunchiar
Est située dans la zone historique de la ville. Ce bâtiment cultuel de dimensions ne pas trop grandes a une immense signifiance pour la multi-culturalité de Constanta, étant le plus ancien édifice de culte musulman de la ville. Au commencement du XIXe siècle Constanta était délimitée par un mur de garde avec bastion, construit par les turcs qui maîtrisaient à cette époque. Ce mur de garde a été détruit entre 1828 - 1829. De ces restes la mosquée Hunchiar a été élevée en 1867, dont le nom signifie en turque "gouverneur".
I.6. L’Église arménienne "St. Maria”
La première église arménienne de Constanta a été construite en bois autour l’année 1740. Les fondations de la seconde église ont été mises dans l’année 1880 par le fondateur Nazaret Torosian, dans la partie de l’est de la péninsule Tomis, vers la mer. La surface dont laquelle on a construit le nouveau édifice été donnée à la communauté arménienne par la municipalité de Constanta pour une église et une école. Dans l’année 1942 l’église a été détruite par un incendie, et le service religieux s’était tenu dans la salle de festivité de l’école arménienne. Ce “nouveau“ établissement, aujourd’hui utilisé comme presbytère au rez-de-chaussée et comme espace de culte au premier niveau, a été agrandi avec un clocher et puis modifié de la manière de ressembler à une église ou monastère traditionnellement arménienne. À l’intérieur il n’y a pas des peintures murales et un nombre réduit des icônes religieuses. L’église est construite sous le mécénat de "L'endormant de Mère de Dieu" et a été inaugurée le 24 Novembre 2002 par I.P.S. Dirayr Marchidian, le Chef de diocèses arméniens de Roumanie et Bulgarie.
I.7. L’Église Orthodoxe Grecque "Metamorphosis"
L’édifice a été construit entre 1865-1868 avec l’accord du Sultan Abdul Aziz et le financement de la communauté grecque. À Constanta elle représente le premier bâtiment religieux non-musulman de maçonnerie. L’église se présente dans la forme d’une basilique, avec deux nefs latérales rectangulaires et une centrale, hémisphérique. Le sol est en marbre blanc et l’autel est en bois de sapin. Le peintre Radu Nicolae a restaure la peinture intérieure dans les années ʽ80 du XXème siècle. Après 1867 le bâtiment a subi quelques changements, comme l’ajout de deux balcons latéraux et d’un cafas; entre 1922-1924 quatre fenêtres latérales ont été obturées sur la côté du nord, et en 1947 a été ajouté un clocher, sans affecter le style architectural originel. Les commerçants de la communauté grecque ont doté l’église, depuis son fondation, avec un grand nombre d’objets de culte (par exemple quatre grands chandeliers de Murano, un évangéliaire à cadre d’argent). En 1954 l’édifice a été déclaré monument historique. Au présent il a le statut de Paroisse Roumaine-Hellénique mixte.
II.1. Le Parc de la Cathédrale
Il est un site archéologique urbain très important, situé à côté de la Cathédrale Orthodoxe "Saints Pierre et Paul". D'où le nom dont il est connu comme le Parc de la Cathédrale. La recherche archéologique systématique développée dans plusieurs campagnes, entre 1971 și 1974, a révélé une zone résidentielle de l’antique Tomis. Les deux rues principales découvertes ici, avec leurs bâtiments relevant, aussi que des autres segments de l’antique réseau de la rue, permet aujourd’hui l’identification de la manière d’organisation urbaine de la ville Tomis. Après cette recherche il a résulté la plus complexe et complète stratigraphie de la vie antique, commençant le VIe siècle avant J-C., jusqu’au Ve siècle ap. J-C. Le matériel archéologique découvert dans les trous effectués dans les couches supérieures prouvent que la zone a été habitée aussi pendent le Vie siècle ap. J-C. Mais les niveaux correspondants sont retirés quand la cathédrale a été construite. Donc, le Parc de la Cathédrale présente une histoire de la ville, pendant périodes historiques différentes et une transformation d’une colonie grecque dans une véritable vile romano-byzantine, la capitale de la province Scythia.
II.2. La Basilique Chrétienne
On connaît plusieurs basiliques chrétiennes qui ont fonctionné à Tomis (Constanta) pendent les siècles IV - VI ap. J-C. Beaucoup d'entre elles sont conservées au souterrain, seulement deux en étant aujourd’hui accessible au visitateurs. Une tiers de la plus grande basilique de Tomis est localisé sous l’hôtel Ibis, entres les rues Negru-Voda et Mircea cel Batran, mesurant au moment de la découverte 55 m longueur et 24 m largeur. L’abside, orienté vers l’est, selon la tradition chrétienne, a la forme pentagonale et l’intérieur est divisé en trois naves, par deux rangées de colonnes longitudinales. Elle a été douée de trois annexes vers l’est, aussi qu’une colonnade à côté du nord. L’entrée principale se fait par l’atrium, située à côté d’ouest. Elle a été enlevée dans le siècle VI ap. J-C sur les ruines d’un amphithéâtre romain (I-III ap. J-C.), qui était utilisée pour héberger les batailles de gladiateurs. La basilique a été située au long de la rue principale de Tomis, qui arrivée d’ Histria et entrait dans la ville par la Porte Principale. Elle a fonctionné jusqu’au VIIe siècle ap. J-C.
II.3. La Porte Principale de La ville
On connait de l’existence d’une de ces tours qui allaient autour la Porte Principale de la ville Tomis (Constanta) du commencement du XXe siècle, mais une recherche approfondie a été seulement possible à effectuer entre les années 1987 et 1998. C'est où la route antique venant d’Histria, entrait a Tomis, une autre ville grecque-romaine importante sur le littoral roumain. C’était un monument imposante, partie de la fortification Romaine-byzantine, qui protégeait la ville sur son côté continental. Ce n'était pas la seule entrée, mais c'était certainement la plus importante. Elle avait la plus grande ouverture (large d’approximativement 10 m), aussi que le plan le plus stratégique et complexe. Elle a été construite au même temps avec la place romani-byzantine, au commencement de IVème siècle ap. J-C, quand beaucoup des autres bâtiments urbaines de Tomis ont été changées et renouvelées. Il a dû protéger une partie importante de la ville, et inclure dans l’espace de la ville un quartier, qui jusqu’à ce temps, a fonctionné à la périphérie de la ville. Le principal édifice chrétien, qui probablement avait la fonction aussi de basilique épiscopale de Tomis, a été construit dans l’immédiate proximité de la Porte Principale de la Ville.
II.4. Le Parc Archéologique et le Mur de fortification romain-byzantin de la ville de Tomis (Constanta)
Le Parc Archéologique Porte ce nom en raison du fait qu’il a été organisé au long des ruines romain-byzantines, qui donnait protection à la ville de Tomis dans l’antiquité. Il a été construit pendent le IVème siècle ap. J-C, pour abriter un quartier qui a fonctionné à l'extérieur des Premiers murs romains. On présume d’avoir fonctionné trois murs de fortification différents dans Tomis antique. L'hellénistique et les Premiers romains présument seulement avoir existé, en raison d'informations fournies par sources écrites (Le travail de poète latin Ovide), les inscriptions, numismatique, mais seulement rare par les preuves archéologiques. Celle romain - byzantin a été creusée et peut être admiré dans le Parc Archéologique. On peut voir deux portes fournies des tours rectangulaires, les murs les connectant et un "U" ont formé la tour (La tour des Bouchers). Pendant le Vème siècle ap. J-C., la ligne occidentale du mur fortifié a été démantelée et couverte par une zone habitée. Cette zone, avec un autre nouveau quartier, organisé autour de deux basiliques paléochrétiennes, a été inclus dans l'intra-muros l'espace, en attachant une nouvelle ligne de fortification à celui que nous pouvons voir aujourd’hui dans le Parc Archéologique. Donc, la zone habitée à l'intérieur des murs de la ville a été encore une fois agrandie. Ceci était la dernière période florissante dans l'histoire antique.
En plus de ce monument, préservé in situ, d'autres expositions monumentales antiques ont été placées dans plusieurs zones de ce parc: sarcophages en pierre, colonnes, d'autres éléments architecturaux, grands navires de provision céramiques etc. Aussi, à côté de la tour des Bouchers, sur un mur d'une un bâtiment moderne, on peut y admirer une carte de Dobrogea avec des villes antiques marquées et devant cela, le buste de Vasile Parvan, un des archéologues roumains les plus grands qui ont creusé la tour des Bouchers entre les années 1915 et1916. Une autre caractéristique intéressante du Parc Archéologique est la Statue de Victoire, placée dans une zone ouverte, faisant face à la Mer.
II.5. Les ruines d'une tour du Premier mur de fortification romain
Ces ruines semblent faire partie de deux systèmes de fortification différents: Le Premier Romain, chevauché par la fortification ottomane. Le premier, construit au IIème siècle ap J.-C., a été démantelé dans la période Romaine-byzantine, quand une nouvelle fortification a été construite, pour comprendre une plus grande partie de la péninsule de la ville Tomis (Constanta). En traçant les trois lignes de fortification différentes - Hellénistique, Premier Romain et Romain-byzantin – on peut observer un modèle de développement urbain pour Tomis: la zone habitée a progressivement augmenté, montrant un développement continu de cette ville, jusqu'au VIIème siècle ap. J.-C. Une dernière, plus récent, fortification est connue depuis la période ottomane. Un plan moderne de la ville montre un règlement ottoman fortifié seulement sur un côté, vers le nord-ouest, par un mur fourni deux tours. Une lithographie quoique dépeignent la fortification ottomane comme une ligne continue, avec au moins encore une tour, à côté d’est, où de nos jours la statue d'ingénieur Anghel Saligny est placée.
II.6. Le Musée pour Histoire Nationale et Archéologie de Constanta
Le Musée pour Histoire Nationale et Archéologie de Constanta (MHNAC) est placé dans le vieux centre de Constanta. La richesse archéologique de région Dobrogea est présentée dans ses grandes chambres d'exposition. La construction lui-même est un exemple d'architecture roumaine. Il a été construit en 1921, pour héberger la mairie de Constanta et en 1977 c'est devenu le siège social de MHNAC. Il abrite maintenant et montre plusieurs collections (verre, des bijoux, numismatique, pipes et la collectionde sculpture) et des artefacts divers, datant de la préhistoire aux temps contemporains, chronologiquement exposés sur les premiers et deuxièmes étages. Les archéologues ont découvert la plupart des articles montrés dans des chambres d'exposition MNHAC, ou préservé dans ses dépôts, sur plusieurs sites de Constanta, comme: Tomis (Constanta), Histria (Istria), Capidava, Ulmetum (Pantelimon), Carsium (Hirsova), Callatis (Mangalia), Albesti, Cheia, Oltina, etc. Certains de ces sites sont systématiquement faits des recherches chaque été et fournissent les collections de musée de nouveaux articles chaque année.
II.7. L’édifice avec mosaïque
L’édifice avec mosaïque a été découvert pendant les travaux de construction d'immeubles sur la côte du sud-ouest de la ville, en 1959. L'imposant édifice a été construit au commencement du IVème siècle ap. J-C sur trois terrasses, coupées dans la pente de digue. Ils ont eu l'habitude d'être nivelés pour assurer la stabilité du bâtiment. L'édifice a été placé sur les mêmes quais du vieux port de Tomitan; de son niveau s'est ouverte la première série de chambres en arc, utilisées comme entrepôts pour les marchandises transportées par les bateaux commerciaux. L'accès aux deux terrasses suivantes a été assuré par un certain escalier de calcaire massif. Le deuxième niveau était semblable au premier. Il avait onze chambres en arc, pour le même but que les premiers. La découverte d'un groupe de produits importés et placés dans deux de ces chambres sur la deuxième terrasse de l'édifice en mosaïque fournissent une image complète sur les importations dans la période Romaine-byzantine: Une quantité impressionnante de céramique tamponnée, lampes de ruée, moules(terreaux) de lampes de ruée, amphores pleines de substances organiques différentes (térébenthine, mastix, stirax, colofonium, encens, hilarité), aussi bien que des amphores portant clous de fer, les piles de lingots de fer, 8 ancres de fer.
Le plan du troisième niveau était totalement différent comparé aux autres deux. Ici, il a eu l'habitude d'y avoir une grande chambre avec l’intérieur somptueuse et très riche et diversifiée. L’entière surface est couverte par la mosaïque polychrome, décoré avec des motifs végétaux et géométriques; la mosaïque a couvert une zone d'environ 2,000 m2, dont environ 400 m2 est toujours préservé. Les murs étaient plaqués en marbre, avec des diffèrent représentations géométriques, florales ou même zoomorphes et anthropomorphes. Initialement, cette chambre communiquait avec la ville par une entrée placée sur le côté du Nord-Est. Plus tard, l'entrée a été briquetée en haut et il a été utilisé comme une niche. Il y avait une autre entrée à cette partie du complexe par le vestibulum à côté d’ouest. L’édifice a fonctionné, avec quelques modifications de fonctionnalité et d’aspect générale, jusqu’au VIème siècle ap. J-C.
II.8. Les Bains romains – Lentiarion
Approximativement 100 m au sud de l’édifice avec mosaïque il y a un autre bâtiment antique impressionnante, un complexe de bain, connu comme Lentiarion. Son nom vient d'une inscription conservée sur le cadre en pierre à côté supérieur d'une porte conduisant à une petite chambre sous l'escalier. On présume que ce terme informe de l'utilité de cette chambre : il semble que cela a été l'endroit où les feuilles de lin ont été gardées (linum) utilisées pour le fonctionnement approprié des bains. Seulement une partie de ce grand complexe a été découverte par les archéologues : une chambre rectangulaire, 30 x 10 m2, pavée avec blocs en pierre et dotée avec trois entrées à côté du sud-est – une vers Lentiarion et deux vers le vestibulum, dont un escalier fait le lien de ce niveau inférieur devant le port avec le niveau antique de la ville. Le reste de cela se trouve sous les bâtiments modernes au-dessus de la falaise du sud de la péninsule.
La caractéristique principale de cette construction est le système de chauffage avec lequel il a été fourni. La pièce principale, construite dans la même technique que l’édifice avec mosaïque, a été chauffée par l'air chaud passant sous son plancher suspendu et par ses murs doubles. Cet édifice a été probablement construit au IIIème siècle ap J.-C., ou plus tard, quand l’édifice avec mosaïque a été construite.
II.9. La Basilique Chrétienne
À l'entrée principale dans le port commercial de Constanta on peut remarquer un petit domaine dans le milieu de la rue, ou sur un espace verte, sont conservées les ruines d’une basilique antique. Seulement l'abside est toujours visible aujourd'hui, aussi bien que les repos d'un complexe rectangulaire précédent (IVème siècle avant J-C), chevauché par cette structure chrétienne.
La fonctionnalité principalement commerciale de cette partie de la ville, placée devant le port antique, a été soumis aux modifications pendent le Vème siècle ap. J-C, lorsque la basilique a été enlevée. On peut admirer des symboles chrétiens et des objets appartenant à la pratique Chrétienne dans Tomis ou la province Scythia aux expositions du Musée pour l'Histoire Nationale et Archéologie de Constanta.
III.1. Le Phare Carol I et le Musée du Port
Le Phare de Carol I a été construit en 1909, dans la proximité du Pavillon Régale (hébergeant aujourd’hui le Musée du Port), pour honorer et commémorer les amples ouvrages de systématiser le port, qui ont eu lieu pendent le période du roi Carol I de Roumanie. Le Musée du Port fonctionne dans le bâtiment connue dans la période interbelique sous le nom de Le Nid de la Reine ou le Pavillon Régale. Le bâtiment est placé sur l’ancien pilier d'entrée au port et il a été projeté et exécuté sous conseils directs d’Anghel Saligny, entre les années 1909-1910. La construction initiale en bois a été reconditionné en brique et béton entre les années 1927-1928. La dernière intervention a eu lieu entre 1983-1985. Le musée présente les traditions et les activités du port de période Tomis antique jusqu’à de nos jours.
III.2. Le Musée ”Ion Jalea” a été fondé avec les œuvres donnés par l’artiste plastique Ion Jalea (1887-1983): sculpture (108 œuvres), dessins, soulagements, statues et bustes. Le bâtiment est un monument historique, construit entre 1919-1920, ayant comme architecte à Victor Stefănescu. Des œuvres travaux originales et des modèles sont exposés au rez-de-chaussée et à l’étage, fait avec matériels différents et techniques. Les thèmes sont variés: des œuvres allégoriques, croquis frontales, portraits, compositions monumentales etc. Son chef-d'œuvre de définition, "L'archer se reposant" est devant la maison, au bord de la mer.
III.3. Le Musée d’Histoire et Archéologie est un des musées les plus riches en Roumanie et la deuxième plus grande institution de profil, après le Musée National d’Histoire. Il a été fondé en 1879 par Remus Opreanu, le premier préfet de l’administration roumaine de Dobrogea. Pendant presque un siècle il a éprouvé le déclin aussi que des périodes florissantes, étant déplacé à emplacements différents. Dans l’année 1977 les pièces exposées ont été déplacées vers le siège présent. L’imposante construction de musée a été érigée dans le style d'architecture roumain au début du XXème siècle et a servie Mairie de l’année 1921. Le musée garde un héritage impressionnant, constituée de plus de 430 objets datant le Paléolithique à l'époque.
III.4. Le Musée d'Art populaire
En 1975 la collection d'art populaire a été introduite au Musée D'art Constanta et en 1980 cela a obtenu le statut de section. Depuis 1990 c'est une institution avec la personnalité juridique. L'exposition de base comprend toutes les catégories d'art populaire, réparties aux zones ethnographiques, le musée ayant un caractère national. Les collections incluent: céramique, icônes sur bois et sur verre, costumes métalliques, populaires, tissus, textile, ornements. La construction de musée date de 1893 et est un monument historique et d'architecture. Initialement c'était la mairie et ensuite le bureau de poste.
III.5. Le Musée d'Art a été fondé avec des collections de sculpture et peintures provenant de la Pinacothèque du Mairie de la ville Constanta. Il a été enrichi d’œuvres transférées du Musée National d'Art, aussi par des acquisitions et des donations faites par Marius Bunescu, Ion Jalea, Boris Caragea. Les objets sont exposés sur trois niveaux dans les deux bâtiments, liés l'un à l'autre : la première construction est datée à 1895, montrant le style néo-classique à l'extérieur des éléments décoratifs, l'autre est moderne, enlevé entre 1980-1982. Les œuvres signées par les peintres roumains les plus célèbres et des sculpteurs sont mises dans la valeur dans la première construction. On peut voir des compositions, des portraits et les paysages d'artistes de génération plus récents dans la deuxième construction.
III.6. Le Musée Naval Roumain a été fondé en 1969 comme une première institution de catégorie d'intérêt national, le seul dans le pays. Il est placé dans le siège de l'ancien Lycée Naval Supérieure, datant de 1908. La construction représente un monument historique. Le musée est organisé sur des critères thématiques-chronologiques et a plusieurs départements, montrés dans les 30 halls. L'institution possède 37,800 pièces, groupées dans 33 collections et présente l'histoire de la marine roumaine. Le Musée Naval roumain a été de nouveau confirmé comme un musée d'importance nationale, le deuxième dans le Ministère de la Défense Nationale et le seul dans la région de Dobrogea.
IV.1. Le Casino, l’Aquarium et la promenade littorale
Le Casino
En 1903 le conseil local a décidé de construire un casino selon le projet de style d'Art nouveau d'architecte Daniel Renard. Mais il a été rejeté par une partie d'opinion publique et des partis politiques. Les œuvres ont commencé en 1907 et ont été finies en 1910.
L’Aquarium Est placé du rivage de mer, devant l'imposant casino de Constanta. Inauguré le 1 mai 1958, il était pendant une longue période la première et l’unique institution publique de ce type dans notre pays. La construction a été érigée au début du XXème siècle comme une annexe du Casino. L'espace est utilisé pour la faune aquatique permanente et l'exposition de la flore.
Le Phare génois est un monument historique situé sur la promenade de la ville Constanta, dans la proximité du Casino et il une hauteur d’approximativement 8 m. Il a été construit autour l’année 1300 par le génois qui s’occupaient avec le commerce dans le port. Il a été construit entre les années 1858-1860 par l’ingénieur français Artin Aslan, sur la commande d’une compagnie anglaise.
La promenade littorale est placée sur le rivage de la péninsule raide et a été arrangé selon des standards de tourismes actuels. On fournit la promenade littorale avec une rampe de regard archaïque. Le parc le long de cela est arrangé comme le paysage avec la pergola, des sculptures par Ion Jalea, une fontaine et avec la statue de la Reine Elisabeth de la Roumanie.
IV.2. Le Port Touristique “Tomis” est un des emplacements célèbres de la ville, pour des touristes aussi bien que pour la population locale. La zone du port touristique, quand même la saison, est un choix fait par ceux qui veulent admirer la mer. L’accès vers le port se fait d’une manière très facile, au moyen des rues descendant jusqu’au baie. Beaucoup de terrasses et de restaurants sont placés du front de mer, servant des plats de poisson, ou des différents plats de la cuisine internationaux. En été le port est souvent visité par les groupes de dauphins. C'est aussi l'emplacement idéal pour organiser des loisirs nautiques.
IV.3. La Place d’Ovide et le Boulevard Tomis
La Place d’Ovide est placé dans le centre historique de la ville et a été complètement rénové pendant les années dernières, devenant une zone piétonne et un point d'attraction principal pour les habitants et les touristes. En raison du nombre croissant de bateaux de croisière, des milliers de touristes étrangers sont attendus pour visiter le vieux centre. La statue du poète latin, Publius Ovidius Naso, domine l'espace carré, étant placé ici après l'Indépendance gagnante (ceci était l'ancien nom de la place). L'édifice romain avec la mosaïque et le Musée d’Histoire Nationale et d’Archéologie sont aussi placés ici.
Le Boulevard Tomis commence directement ici et représente l'axe E-O de la ville. Le long de cela il y a un grand nombre de bâtiments, qui sont historiques ou des monuments d'architecture. Beaucoup d'entre eux doivent être reconstitués. En commençant avec l'été de 2015, beaucoup de cafés, des pubs et des restaurants étaient ouverte ici, invitant les touristes à jouir de les différents plats de la cuisine interntionelle ou celle traditionelle. Les touristes peuvent dégouter les types divers de cafés ou des boissons, à l'intérieur de leurs alentours chauds pendant l'hiver, ou sur leurs terrasses au grand air de l'été à ressort.
IV.4. Le Parc Archéologique représente un espace avec la végétation luxuriante, dans laquelle l’esprit de l’antique forteresse de Tomis est toujours vivant. Le parc couvre une surface généreuse, entre la mairie de Constanta et le Boulevard Ferdinand. Et ses allées semblent être des centres d'expositions dans un musée d'histoire : colonnes, grands navires de céramique et fragments d'architecture datant de la période Romaine-byzantine. La partie du parc à côté de Boulevard Ferdinand est encadré par le dernier mur d'alentours romain, montrant aussi deux portes d'entrée à la forteresse, datant de l’IVème-VIème siècle ap J.-C. On peut aussi voir les ruines de la Tour des Bouchers ici, reconstitué dans le temps de Justinien. Sur le mur de côté de la construction à l’extrémité d’est du parc on peut observer la carte de règlements antiques dans Dobrogea.
IV.5. Le Complexe de Musée de Sciences Naturelles est une référence importante dans le paysage culturel et scientifique et est actif dans deux emplacements: l'aquarium près du Casino et le complexe de musée dans la Place de Soveja, construite dans 1972-1973. Les sections le Micro delta, le Delphinarium, le Planétarium - l'Observatoire astronomique et une exposition permanente d'oiseaux exotiques sont placées dans cet espace généreux. Le Parc du complexe est une excellente zone de loisir, avec des allées et bancs, placés parmi des arbres et les dispositions végétales, tous représentant un petit jardin dendrologue. L'héritage d'institution comprend plus de 30,000 pièces, représentant : des mollusques, le coquillage, des poissons, des oiseaux et des mammifères. À cet égard les relations ont été établies avec un grand nombre d'institutions semblables en Europe, l'Asie et l'Afrique.
IV.6. Le Parc de Tabacarie couvre une surface d’environ 100 ha autour du lac avec le même nom. C'est un des parcs les plus beaux dans la région de Dobrogea et parmi le plus grand dans le pays. Le parc inclut trois lacs intérieurs, sur dont les rivages la végétation riche grandissent. Il y a des îles, des péninsules et des isthmes dans les lacs, donnant la zone un aspect romantique. Un charme spécial est donné par les ponts et petits ponts facilitant l'accès sur les d'eau. La végétation comprend une variété d'espèce d'arbres, spécifique pour les zones avec de lac: des saules, peupliers, cyprès de lac, chênes rouges, mais aussi châtaignes, bouleaux, hêtres et magnolia. Pendant l'été le tour du parc peut être fait par un petit train. La petite église en bois "St. Mina" réfléchit aussi sur la surface brillante d'eau et donne un charme spécial au parc.
Itinéraire culturels de Constanta, Roumanie
I.1. La Cathédrale Orthodoxe "Saints Pierre et Paul"
Elle a été construite entre 1883-1885, selon les plans de l’architecte Alexandru Orascu et a un porche ouvert à l’entrée aussi que trois arcades. Le mobilier a été fabriqué en chêne, suivies des dessins de l’architecte Ion Mincu; certains de ses éléments sont décorées avec des pierres semi-précieuses et dorées. L’artiste Allemagne Wirnst a élaboré les fenêtres avec vitrail. L’évêque du Bas-Danube, Partenie Clinceni, a inauguré le bâtiment religieux le 22 mai 1895. Étant donné qu’elle a été affectée partiellement par un bombardement (3 août 1941), des amples travaux de restauration ont eu lieu. Les peintres Gh. Popescu et N. Dona Delavrancea ont exécuté la nouvelle peinture murale avec la technique fresco (1959-1965). Des saints martyres de centres religieux de Dobrogea, datés du principe du christianisme, sont aussi représentés dans les médaillions iconographiques (par exemples St. Chiril de la Axiopolis, St. Maxim et St. Emilian de la Durostorum). Depuis 1923 l’édifice poursuit le rôle de cathédrale, et de 2001 elle a le statut de monastère. Elle a le privilège d’héberger les reliques du St. Le Grand Martyre Pantelimon, St. Auxentius, St. Siméon le Stylite, les Saints Epictète et Astion.
I.2. L’Église romano-catholique "Saint Antoine de Padova" de Constanta a été construite entre 1935-1937, selon les plans et sous la direction de l’architecte Romano de Simon de Bucarest. L’église a été construite sur l’endroit de l’ancienne chapelle, élevée en 1885. L’édifice actuel est une basilique, construite selon le modelé de ceux du nord Italie, construite en briques apparentes, en style roman, spécifique au XIIIe siècle. L’intérieure de l’église est aussi construit en brique apparente, fait pour lequel il n’est pas besoin de travaux de plâtrerie.
I.3. La Mosquée Carol I
L’édifice a été construit avec des fonds publics au cours de la période 1910-1913 en pierre et brique, à l’exception de la voûte et du minaret, construite en béton précontraint. Elle a été élevée selon les plans élaborés par l’architecte Victor Gh. Stefanescu. La manière d’exécution appartient à l’inventeur Gogu Constantinescu est c’est le premier bâtiment construit en béton précontraint et brique en Roumanie. La mosquée, avec la surface 450 m², avec haute voûte de 25 m et minaret de 47 m (la marche intérieure a 140 escaliers), a été élevée sur l’endroit de l’ancienne mosquée (Mahmudia, construite en 1822), de laquelle on a conservé le mighrab (l’autel) en style Mauro. Les 99 attributs de la divinité sont écrits tout autour. Depuis 1965 la mosquée est pourvue parmi ses objets d’héritage d’un tapis large de 144 m² et pesant 490 kg, réalisées à la main il y a 200 années à Hereke (La Turquie), donné par le Sultan Abdul Hamid à la mosquée de l’Île Ada Kaleh, qui est maintenant inondé.
I.4. La Synagogue juive
Le temple de rite israélite dans le quartier péninsulaire de la ville a commencé à être construit en 1910 selon les plans de l’architecte Anghel Paunescu. Construit en pierre et brique, l’édifice présent une voûte met en avant par des profils décoratifs de forme arrondie, fenêtres étroites avec trois segments au premier niveau, à côté supérieur et des fenêtres rectangulaires au niveau inferieure. Le portail principal, qui initialement avait un escalier monumental, est plus étroit que le front de côté, montrant l’étoile de David à côté supérieur. L’intérieur est simple, contenant deux colonnades. L’édifice est actuellement dans un état avancé de dégradation.
I.5. La Mosquée Hunchiar
Est située dans la zone historique de la ville. Ce bâtiment cultuel de dimensions ne pas trop grandes a une immense signifiance pour la multi-culturalité de Constanta, étant le plus ancien édifice de culte musulman de la ville. Au commencement du XIXe siècle Constanta était délimitée par un mur de garde avec bastion, construit par les turcs qui maîtrisaient à cette époque. Ce mur de garde a été détruit entre 1828 - 1829. De ces restes la mosquée Hunchiar a été élevée en 1867, dont le nom signifie en turque "gouverneur".
I.6. L’Église arménienne "St. Maria”
La première église arménienne de Constanta a été construite en bois autour l’année 1740. Les fondations de la seconde église ont été mises dans l’année 1880 par le fondateur Nazaret Torosian, dans la partie de l’est de la péninsule Tomis, vers la mer. La surface dont laquelle on a construit le nouveau édifice été donnée à la communauté arménienne par la municipalité de Constanta pour une église et une école. Dans l’année 1942 l’église a été détruite par un incendie, et le service religieux s’était tenu dans la salle de festivité de l’école arménienne. Ce “nouveau“ établissement, aujourd’hui utilisé comme presbytère au rez-de-chaussée et comme espace de culte au premier niveau, a été agrandi avec un clocher et puis modifié de la manière de ressembler à une église ou monastère traditionnellement arménienne. À l’intérieur il n’y a pas des peintures murales et un nombre réduit des icônes religieuses. L’église est construite sous le mécénat de "L'endormant de Mère de Dieu" et a été inaugurée le 24 Novembre 2002 par I.P.S. Dirayr Marchidian, le Chef de diocèses arméniens de Roumanie et Bulgarie.
I.7. L’Église Orthodoxe Grecque "Metamorphosis"
L’édifice a été construit entre 1865-1868 avec l’accord du Sultan Abdul Aziz et le financement de la communauté grecque. À Constanta elle représente le premier bâtiment religieux non-musulman de maçonnerie. L’église se présente dans la forme d’une basilique, avec deux nefs latérales rectangulaires et une centrale, hémisphérique. Le sol est en marbre blanc et l’autel est en bois de sapin. Le peintre Radu Nicolae a restaure la peinture intérieure dans les années ʽ80 du XXème siècle. Après 1867 le bâtiment a subi quelques changements, comme l’ajout de deux balcons latéraux et d’un cafas; entre 1922-1924 quatre fenêtres latérales ont été obturées sur la côté du nord, et en 1947 a été ajouté un clocher, sans affecter le style architectural originel. Les commerçants de la communauté grecque ont doté l’église, depuis son fondation, avec un grand nombre d’objets de culte (par exemple quatre grands chandeliers de Murano, un évangéliaire à cadre d’argent). En 1954 l’édifice a été déclaré monument historique. Au présent il a le statut de Paroisse Roumaine-Hellénique mixte.
II.1. Le Parc de la Cathédrale
Il est un site archéologique urbain très important, situé à côté de la Cathédrale Orthodoxe "Saints Pierre et Paul". D'où le nom dont il est connu comme le Parc de la Cathédrale. La recherche archéologique systématique développée dans plusieurs campagnes, entre 1971 și 1974, a révélé une zone résidentielle de l’antique Tomis. Les deux rues principales découvertes ici, avec leurs bâtiments relevant, aussi que des autres segments de l’antique réseau de la rue, permet aujourd’hui l’identification de la manière d’organisation urbaine de la ville Tomis. Après cette recherche il a résulté la plus complexe et complète stratigraphie de la vie antique, commençant le VIe siècle avant J-C., jusqu’au Ve siècle ap. J-C. Le matériel archéologique découvert dans les trous effectués dans les couches supérieures prouvent que la zone a été habitée aussi pendent le Vie siècle ap. J-C. Mais les niveaux correspondants sont retirés quand la cathédrale a été construite. Donc, le Parc de la Cathédrale présente une histoire de la ville, pendant périodes historiques différentes et une transformation d’une colonie grecque dans une véritable vile romano-byzantine, la capitale de la province Scythia.
II.2. La Basilique Chrétienne
On connaît plusieurs basiliques chrétiennes qui ont fonctionné à Tomis (Constanta) pendent les siècles IV - VI ap. J-C. Beaucoup d'entre elles sont conservées au souterrain, seulement deux en étant aujourd’hui accessible au visitateurs. Une tiers de la plus grande basilique de Tomis est localisé sous l’hôtel Ibis, entres les rues Negru-Voda et Mircea cel Batran, mesurant au moment de la découverte 55 m longueur et 24 m largeur. L’abside, orienté vers l’est, selon la tradition chrétienne, a la forme pentagonale et l’intérieur est divisé en trois naves, par deux rangées de colonnes longitudinales. Elle a été douée de trois annexes vers l’est, aussi qu’une colonnade à côté du nord. L’entrée principale se fait par l’atrium, située à côté d’ouest. Elle a été enlevée dans le siècle VI ap. J-C sur les ruines d’un amphithéâtre romain (I-III ap. J-C.), qui était utilisée pour héberger les batailles de gladiateurs. La basilique a été située au long de la rue principale de Tomis, qui arrivée d’ Histria et entrait dans la ville par la Porte Principale. Elle a fonctionné jusqu’au VIIe siècle ap. J-C.
II.3. La Porte Principale de La ville
On connait de l’existence d’une de ces tours qui allaient autour la Porte Principale de la ville Tomis (Constanta) du commencement du XXe siècle, mais une recherche approfondie a été seulement possible à effectuer entre les années 1987 et 1998. C'est où la route antique venant d’Histria, entrait a Tomis, une autre ville grecque-romaine importante sur le littoral roumain. C’était un monument imposante, partie de la fortification Romaine-byzantine, qui protégeait la ville sur son côté continental. Ce n'était pas la seule entrée, mais c'était certainement la plus importante. Elle avait la plus grande ouverture (large d’approximativement 10 m), aussi que le plan le plus stratégique et complexe. Elle a été construite au même temps avec la place romani-byzantine, au commencement de IVème siècle ap. J-C, quand beaucoup des autres bâtiments urbaines de Tomis ont été changées et renouvelées. Il a dû protéger une partie importante de la ville, et inclure dans l’espace de la ville un quartier, qui jusqu’à ce temps, a fonctionné à la périphérie de la ville. Le principal édifice chrétien, qui probablement avait la fonction aussi de basilique épiscopale de Tomis, a été construit dans l’immédiate proximité de la Porte Principale de la Ville.
II.4. Le Parc Archéologique et le Mur de fortification romain-byzantin de la ville de Tomis (Constanta)
Le Parc Archéologique Porte ce nom en raison du fait qu’il a été organisé au long des ruines romain-byzantines, qui donnait protection à la ville de Tomis dans l’antiquité. Il a été construit pendent le IVème siècle ap. J-C, pour abriter un quartier qui a fonctionné à l'extérieur des Premiers murs romains. On présume d’avoir fonctionné trois murs de fortification différents dans Tomis antique. L'hellénistique et les Premiers romains présument seulement avoir existé, en raison d'informations fournies par sources écrites (Le travail de poète latin Ovide), les inscriptions, numismatique, mais seulement rare par les preuves archéologiques. Celle romain - byzantin a été creusée et peut être admiré dans le Parc Archéologique. On peut voir deux portes fournies des tours rectangulaires, les murs les connectant et un "U" ont formé la tour (La tour des Bouchers). Pendant le Vème siècle ap. J-C., la ligne occidentale du mur fortifié a été démantelée et couverte par une zone habitée. Cette zone, avec un autre nouveau quartier, organisé autour de deux basiliques paléochrétiennes, a été inclus dans l'intra-muros l'espace, en attachant une nouvelle ligne de fortification à celui que nous pouvons voir aujourd’hui dans le Parc Archéologique. Donc, la zone habitée à l'intérieur des murs de la ville a été encore une fois agrandie. Ceci était la dernière période florissante dans l'histoire antique.
En plus de ce monument, préservé in situ, d'autres expositions monumentales antiques ont été placées dans plusieurs zones de ce parc: sarcophages en pierre, colonnes, d'autres éléments architecturaux, grands navires de provision céramiques etc. Aussi, à côté de la tour des Bouchers, sur un mur d'une un bâtiment moderne, on peut y admirer une carte de Dobrogea avec des villes antiques marquées et devant cela, le buste de Vasile Parvan, un des archéologues roumains les plus grands qui ont creusé la tour des Bouchers entre les années 1915 et1916. Une autre caractéristique intéressante du Parc Archéologique est la Statue de Victoire, placée dans une zone ouverte, faisant face à la Mer.
II.5. Les ruines d'une tour du Premier mur de fortification romain
Ces ruines semblent faire partie de deux systèmes de fortification différents: Le Premier Romain, chevauché par la fortification ottomane. Le premier, construit au IIème siècle ap J.-C., a été démantelé dans la période Romaine-byzantine, quand une nouvelle fortification a été construite, pour comprendre une plus grande partie de la péninsule de la ville Tomis (Constanta). En traçant les trois lignes de fortification différentes - Hellénistique, Premier Romain et Romain-byzantin – on peut observer un modèle de développement urbain pour Tomis: la zone habitée a progressivement augmenté, montrant un développement continu de cette ville, jusqu'au VIIème siècle ap. J.-C. Une dernière, plus récent, fortification est connue depuis la période ottomane. Un plan moderne de la ville montre un règlement ottoman fortifié seulement sur un côté, vers le nord-ouest, par un mur fourni deux tours. Une lithographie quoique dépeignent la fortification ottomane comme une ligne continue, avec au moins encore une tour, à côté d’est, où de nos jours la statue d'ingénieur Anghel Saligny est placée.
II.6. Le Musée pour Histoire Nationale et Archéologie de Constanta
Le Musée pour Histoire Nationale et Archéologie de Constanta (MHNAC) est placé dans le vieux centre de Constanta. La richesse archéologique de région Dobrogea est présentée dans ses grandes chambres d'exposition. La construction lui-même est un exemple d'architecture roumaine. Il a été construit en 1921, pour héberger la mairie de Constanta et en 1977 c'est devenu le siège social de MHNAC. Il abrite maintenant et montre plusieurs collections (verre, des bijoux, numismatique, pipes et la collectionde sculpture) et des artefacts divers, datant de la préhistoire aux temps contemporains, chronologiquement exposés sur les premiers et deuxièmes étages. Les archéologues ont découvert la plupart des articles montrés dans des chambres d'exposition MNHAC, ou préservé dans ses dépôts, sur plusieurs sites de Constanta, comme: Tomis (Constanta), Histria (Istria), Capidava, Ulmetum (Pantelimon), Carsium (Hirsova), Callatis (Mangalia), Albesti, Cheia, Oltina, etc. Certains de ces sites sont systématiquement faits des recherches chaque été et fournissent les collections de musée de nouveaux articles chaque année.
II.7. L’édifice avec mosaïque
L’édifice avec mosaïque a été découvert pendant les travaux de construction d'immeubles sur la côte du sud-ouest de la ville, en 1959. L'imposant édifice a été construit au commencement du IVème siècle ap. J-C sur trois terrasses, coupées dans la pente de digue. Ils ont eu l'habitude d'être nivelés pour assurer la stabilité du bâtiment. L'édifice a été placé sur les mêmes quais du vieux port de Tomitan; de son niveau s'est ouverte la première série de chambres en arc, utilisées comme entrepôts pour les marchandises transportées par les bateaux commerciaux. L'accès aux deux terrasses suivantes a été assuré par un certain escalier de calcaire massif. Le deuxième niveau était semblable au premier. Il avait onze chambres en arc, pour le même but que les premiers. La découverte d'un groupe de produits importés et placés dans deux de ces chambres sur la deuxième terrasse de l'édifice en mosaïque fournissent une image complète sur les importations dans la période Romaine-byzantine: Une quantité impressionnante de céramique tamponnée, lampes de ruée, moules(terreaux) de lampes de ruée, amphores pleines de substances organiques différentes (térébenthine, mastix, stirax, colofonium, encens, hilarité), aussi bien que des amphores portant clous de fer, les piles de lingots de fer, 8 ancres de fer.
Le plan du troisième niveau était totalement différent comparé aux autres deux. Ici, il a eu l'habitude d'y avoir une grande chambre avec l’intérieur somptueuse et très riche et diversifiée. L’entière surface est couverte par la mosaïque polychrome, décoré avec des motifs végétaux et géométriques; la mosaïque a couvert une zone d'environ 2,000 m2, dont environ 400 m2 est toujours préservé. Les murs étaient plaqués en marbre, avec des diffèrent représentations géométriques, florales ou même zoomorphes et anthropomorphes. Initialement, cette chambre communiquait avec la ville par une entrée placée sur le côté du Nord-Est. Plus tard, l'entrée a été briquetée en haut et il a été utilisé comme une niche. Il y avait une autre entrée à cette partie du complexe par le vestibulum à côté d’ouest. L’édifice a fonctionné, avec quelques modifications de fonctionnalité et d’aspect générale, jusqu’au VIème siècle ap. J-C.
II.8. Les Bains romains – Lentiarion
Approximativement 100 m au sud de l’édifice avec mosaïque il y a un autre bâtiment antique impressionnante, un complexe de bain, connu comme Lentiarion. Son nom vient d'une inscription conservée sur le cadre en pierre à côté supérieur d'une porte conduisant à une petite chambre sous l'escalier. On présume que ce terme informe de l'utilité de cette chambre : il semble que cela a été l'endroit où les feuilles de lin ont été gardées (linum) utilisées pour le fonctionnement approprié des bains. Seulement une partie de ce grand complexe a été découverte par les archéologues : une chambre rectangulaire, 30 x 10 m2, pavée avec blocs en pierre et dotée avec trois entrées à côté du sud-est – une vers Lentiarion et deux vers le vestibulum, dont un escalier fait le lien de ce niveau inférieur devant le port avec le niveau antique de la ville. Le reste de cela se trouve sous les bâtiments modernes au-dessus de la falaise du sud de la péninsule.
La caractéristique principale de cette construction est le système de chauffage avec lequel il a été fourni. La pièce principale, construite dans la même technique que l’édifice avec mosaïque, a été chauffée par l'air chaud passant sous son plancher suspendu et par ses murs doubles. Cet édifice a été probablement construit au IIIème siècle ap J.-C., ou plus tard, quand l’édifice avec mosaïque a été construite.
II.9. La Basilique Chrétienne
À l'entrée principale dans le port commercial de Constanta on peut remarquer un petit domaine dans le milieu de la rue, ou sur un espace verte, sont conservées les ruines d’une basilique antique. Seulement l'abside est toujours visible aujourd'hui, aussi bien que les repos d'un complexe rectangulaire précédent (IVème siècle avant J-C), chevauché par cette structure chrétienne.
La fonctionnalité principalement commerciale de cette partie de la ville, placée devant le port antique, a été soumis aux modifications pendent le Vème siècle ap. J-C, lorsque la basilique a été enlevée. On peut admirer des symboles chrétiens et des objets appartenant à la pratique Chrétienne dans Tomis ou la province Scythia aux expositions du Musée pour l'Histoire Nationale et Archéologie de Constanta.
III.1. Le Phare Carol I et le Musée du Port
Le Phare de Carol I a été construit en 1909, dans la proximité du Pavillon Régale (hébergeant aujourd’hui le Musée du Port), pour honorer et commémorer les amples ouvrages de systématiser le port, qui ont eu lieu pendent le période du roi Carol I de Roumanie. Le Musée du Port fonctionne dans le bâtiment connue dans la période interbelique sous le nom de Le Nid de la Reine ou le Pavillon Régale. Le bâtiment est placé sur l’ancien pilier d'entrée au port et il a été projeté et exécuté sous conseils directs d’Anghel Saligny, entre les années 1909-1910. La construction initiale en bois a été reconditionné en brique et béton entre les années 1927-1928. La dernière intervention a eu lieu entre 1983-1985. Le musée présente les traditions et les activités du port de période Tomis antique jusqu’à de nos jours.
III.2. Le Musée ”Ion Jalea” a été fondé avec les œuvres donnés par l’artiste plastique Ion Jalea (1887-1983): sculpture (108 œuvres), dessins, soulagements, statues et bustes. Le bâtiment est un monument historique, construit entre 1919-1920, ayant comme architecte à Victor Stefănescu. Des œuvres travaux originales et des modèles sont exposés au rez-de-chaussée et à l’étage, fait avec matériels différents et techniques. Les thèmes sont variés: des œuvres allégoriques, croquis frontales, portraits, compositions monumentales etc. Son chef-d'œuvre de définition, "L'archer se reposant" est devant la maison, au bord de la mer.
III.3. Le Musée d’Histoire et Archéologie est un des musées les plus riches en Roumanie et la deuxième plus grande institution de profil, après le Musée National d’Histoire. Il a été fondé en 1879 par Remus Opreanu, le premier préfet de l’administration roumaine de Dobrogea. Pendant presque un siècle il a éprouvé le déclin aussi que des périodes florissantes, étant déplacé à emplacements différents. Dans l’année 1977 les pièces exposées ont été déplacées vers le siège présent. L’imposante construction de musée a été érigée dans le style d'architecture roumain au début du XXème siècle et a servie Mairie de l’année 1921. Le musée garde un héritage impressionnant, constituée de plus de 430 objets datant le Paléolithique à l'époque.
III.4. Le Musée d'Art populaire
En 1975 la collection d'art populaire a été introduite au Musée D'art Constanta et en 1980 cela a obtenu le statut de section. Depuis 1990 c'est une institution avec la personnalité juridique. L'exposition de base comprend toutes les catégories d'art populaire, réparties aux zones ethnographiques, le musée ayant un caractère national. Les collections incluent: céramique, icônes sur bois et sur verre, costumes métalliques, populaires, tissus, textile, ornements. La construction de musée date de 1893 et est un monument historique et d'architecture. Initialement c'était la mairie et ensuite le bureau de poste.
III.5. Le Musée d'Art a été fondé avec des collections de sculpture et peintures provenant de la Pinacothèque du Mairie de la ville Constanta. Il a été enrichi d’œuvres transférées du Musée National d'Art, aussi par des acquisitions et des donations faites par Marius Bunescu, Ion Jalea, Boris Caragea. Les objets sont exposés sur trois niveaux dans les deux bâtiments, liés l'un à l'autre : la première construction est datée à 1895, montrant le style néo-classique à l'extérieur des éléments décoratifs, l'autre est moderne, enlevé entre 1980-1982. Les œuvres signées par les peintres roumains les plus célèbres et des sculpteurs sont mises dans la valeur dans la première construction. On peut voir des compositions, des portraits et les paysages d'artistes de génération plus récents dans la deuxième construction.
III.6. Le Musée Naval Roumain a été fondé en 1969 comme une première institution de catégorie d'intérêt national, le seul dans le pays. Il est placé dans le siège de l'ancien Lycée Naval Supérieure, datant de 1908. La construction représente un monument historique. Le musée est organisé sur des critères thématiques-chronologiques et a plusieurs départements, montrés dans les 30 halls. L'institution possède 37,800 pièces, groupées dans 33 collections et présente l'histoire de la marine roumaine. Le Musée Naval roumain a été de nouveau confirmé comme un musée d'importance nationale, le deuxième dans le Ministère de la Défense Nationale et le seul dans la région de Dobrogea.
IV.1. Le Casino, l’Aquarium et la promenade littorale
Le Casino
En 1903 le conseil local a décidé de construire un casino selon le projet de style d'Art nouveau d'architecte Daniel Renard. Mais il a été rejeté par une partie d'opinion publique et des partis politiques. Les œuvres ont commencé en 1907 et ont été finies en 1910.
L’Aquarium Est placé du rivage de mer, devant l'imposant casino de Constanta. Inauguré le 1 mai 1958, il était pendant une longue période la première et l’unique institution publique de ce type dans notre pays. La construction a été érigée au début du XXème siècle comme une annexe du Casino. L'espace est utilisé pour la faune aquatique permanente et l'exposition de la flore.
Le Phare génois est un monument historique situé sur la promenade de la ville Constanta, dans la proximité du Casino et il une hauteur d’approximativement 8 m. Il a été construit autour l’année 1300 par le génois qui s’occupaient avec le commerce dans le port. Il a été construit entre les années 1858-1860 par l’ingénieur français Artin Aslan, sur la commande d’une compagnie anglaise.
La promenade littorale est placée sur le rivage de la péninsule raide et a été arrangé selon des standards de tourismes actuels. On fournit la promenade littorale avec une rampe de regard archaïque. Le parc le long de cela est arrangé comme le paysage avec la pergola, des sculptures par Ion Jalea, une fontaine et avec la statue de la Reine Elisabeth de la Roumanie.
IV.2. Le Port Touristique “Tomis” est un des emplacements célèbres de la ville, pour des touristes aussi bien que pour la population locale. La zone du port touristique, quand même la saison, est un choix fait par ceux qui veulent admirer la mer. L’accès vers le port se fait d’une manière très facile, au moyen des rues descendant jusqu’au baie. Beaucoup de terrasses et de restaurants sont placés du front de mer, servant des plats de poisson, ou des différents plats de la cuisine internationaux. En été le port est souvent visité par les groupes de dauphins. C'est aussi l'emplacement idéal pour organiser des loisirs nautiques.
IV.3. La Place d’Ovide et le Boulevard Tomis
La Place d’Ovide est placé dans le centre historique de la ville et a été complètement rénové pendant les années dernières, devenant une zone piétonne et un point d'attraction principal pour les habitants et les touristes. En raison du nombre croissant de bateaux de croisière, des milliers de touristes étrangers sont attendus pour visiter le vieux centre. La statue du poète latin, Publius Ovidius Naso, domine l'espace carré, étant placé ici après l'Indépendance gagnante (ceci était l'ancien nom de la place). L'édifice romain avec la mosaïque et le Musée d’Histoire Nationale et d’Archéologie sont aussi placés ici.
Le Boulevard Tomis commence directement ici et représente l'axe E-O de la ville. Le long de cela il y a un grand nombre de bâtiments, qui sont historiques ou des monuments d'architecture. Beaucoup d'entre eux doivent être reconstitués. En commençant avec l'été de 2015, beaucoup de cafés, des pubs et des restaurants étaient ouverte ici, invitant les touristes à jouir de les différents plats de la cuisine interntionelle ou celle traditionelle. Les touristes peuvent dégouter les types divers de cafés ou des boissons, à l'intérieur de leurs alentours chauds pendant l'hiver, ou sur leurs terrasses au grand air de l'été à ressort.
IV.4. Le Parc Archéologique représente un espace avec la végétation luxuriante, dans laquelle l’esprit de l’antique forteresse de Tomis est toujours vivant. Le parc couvre une surface généreuse, entre la mairie de Constanta et le Boulevard Ferdinand. Et ses allées semblent être des centres d'expositions dans un musée d'histoire : colonnes, grands navires de céramique et fragments d'architecture datant de la période Romaine-byzantine. La partie du parc à côté de Boulevard Ferdinand est encadré par le dernier mur d'alentours romain, montrant aussi deux portes d'entrée à la forteresse, datant de l’IVème-VIème siècle ap J.-C. On peut aussi voir les ruines de la Tour des Bouchers ici, reconstitué dans le temps de Justinien. Sur le mur de côté de la construction à l’extrémité d’est du parc on peut observer la carte de règlements antiques dans Dobrogea.
IV.5. Le Complexe de Musée de Sciences Naturelles est une référence importante dans le paysage culturel et scientifique et est actif dans deux emplacements: l'aquarium près du Casino et le complexe de musée dans la Place de Soveja, construite dans 1972-1973. Les sections le Micro delta, le Delphinarium, le Planétarium - l'Observatoire astronomique et une exposition permanente d'oiseaux exotiques sont placées dans cet espace généreux. Le Parc du complexe est une excellente zone de loisir, avec des allées et bancs, placés parmi des arbres et les dispositions végétales, tous représentant un petit jardin dendrologue. L'héritage d'institution comprend plus de 30,000 pièces, représentant : des mollusques, le coquillage, des poissons, des oiseaux et des mammifères. À cet égard les relations ont été établies avec un grand nombre d'institutions semblables en Europe, l'Asie et l'Afrique.
IV.6. Le Parc de Tabacarie couvre une surface d’environ 100 ha autour du lac avec le même nom. C'est un des parcs les plus beaux dans la région de Dobrogea et parmi le plus grand dans le pays. Le parc inclut trois lacs intérieurs, sur dont les rivages la végétation riche grandissent. Il y a des îles, des péninsules et des isthmes dans les lacs, donnant la zone un aspect romantique. Un charme spécial est donné par les ponts et petits ponts facilitant l'accès sur les d'eau. La végétation comprend une variété d'espèce d'arbres, spécifique pour les zones avec de lac: des saules, peupliers, cyprès de lac, chênes rouges, mais aussi châtaignes, bouleaux, hêtres et magnolia. Pendant l'été le tour du parc peut être fait par un petit train. La petite église en bois "St. Mina" réfléchit aussi sur la surface brillante d'eau et donne un charme spécial au parc.
Rutas culturales de Constanza, Rumanía
I.1. Catedral Ortodoxa de "San Pedro y San Pablo". Fue construida entre 1883 y 1885 según los planes del arquitecto Alexandru Orăscu, tiene un atrio abierto en la entrada y tres cúpulas. Los muebles son de roble y han sido realizados según los diseños del arquitecto Ion Mincu; algunos elementos están decorados con piedras semipreciosas y doradas. El artista alemán Wirnst hizo el diseño de las ventanas con vitrales y el obispo del Bajo Danubio, Partenie Clinceni, inauguró éste lugar de culto el 22 de mayo de 1895. La Catedral fue parcialmente afectada por un bombardeo (3 agosto 1941) y necesitó amplias restauraciones. Los pintores Gh. Popescu y N. Dona Delavrancea realizaron la nueva pintura mural con la técnica fresco (1959-1965). Los Santos Mártires de los centros religiosos de Dobrogea, existentes desde los principios del cristianismo, están también representados en medallones iconográficos (por ejemplo Santo Chiril de Axiopolis, Santo Maxim y Santo Emilian de Durostorum). Desde 1923 el edificio cumple la función de catedral, y desde 2001 tiene estatuto de monasterio. La Catedral aloja las reliquias de San Pantelimon Gran Martirio, San Auxentius, San Simion Stilitul, y de los Santos Epictet y Astion.
I.2. La Iglesia Católica-Romana "San Antonio de Padova" de Constanza fue construida entre 1935-1937, según los planes y bajo la supervisión del arquitecto Romano de Simon de Bucarest. La iglesia fue construida en el lugar de la antigua capilla levantada en 1885. El actual edificio es una basílica hecha de ladrillo visto, por el estilo románico, construida según el modelo existente en el norte de Italia, típico del siglo XIII. El interior de la iglesia también es de ladrillo visto y por ello no hace falta enlucir la iglesia.
I.3. Mezquita de Carol I
El edificio fue construido con fondos del Estado Rumano entre 1910-1913 de piedra y ladrillo, a excepción de la bóveda y del minarete que están hechos de hormigón armado. Fue construida según los planes elaborados por el arquitecto Victor Gh. Ştefănescu. La forma de ejecución le pertenece al inventor Gogu Constantinescu y es el primer edificio de Rumania hecho de hormigón armado y ladrillo. La Mezquita tiene un área de 450 metros cuadrados, una bóveda 25 metros de alto y un minarete de 47 metros (la escalera interior tiene 140 escalones) y fue construida en el lugar de una antigua mezquita (Mahmudiya, construida en 1822), de la cual solo ha quedado el mihrab por el estilo Moro. Las 99 atribuciones de la Divinidad están grabadas alrededor. Desde 1965 la mezquita posee varios objetos de patrimonio, entre los cuales: una alfombra de 490 kilos y 144 metros cuadrados, realizada a mano hace 200 años en Hereke (Turquía), regalada por el Sultán Abdul Hamid a la mezquita de la isla Ada Kaleh, ahora inundada.
I.4. La Sinagoga Judía
El templo de los judíos del barrio peninsular de la ciudad empezó a construirse en 1910 según los planes del arquitecto Anghel Păunescu. Hecho de piedra y ladrillo, el edificio tiene una bóveda que destaca unos perfiles decorativos de forma circular, ventanas estrechas de tres segmentos en el primer nivel y en la parte superior y ventanas rectangulares en el nivel inferior. La entrada principal, que al principio tenía una escalera monumental, es más estrecha que la entrada lateral y destaca la estrella de David en la parte de arriba. El interior es simple, con dos columnatas. En la actualidad, el edificio se encuentra en un estado grave de degradación.
I.5. La Mezquita Hunchiar
Está situada en el área histórica de la ciudad. Éste lugar de culto de dimensiones no tan grandes tiene una gran significación para la pluriculturalidad de Constanza, siendo el más antiguo edificio de culto musulmán de la ciudad. A principios del siglo XIX Constanza estaba rodeada por una muralla de defensa con un bastión, construida por los turcos que dominaban Dobrogea en aquel entonces. La muralla de defensa fue destrozada entre 1828-1829. Con los restos de la muralla fue construida en 1867 la mezquita Hunchiar, cuyo nombre significa "gobernador" en turco.
I.6. La Iglesia Armenia “Santa Maria”
La primera iglesia armenia de Constanza fue construida de madera en aproximadamente 1740. El fundador Nazaret Torosian, construyo los cimientos de la segunda iglesia en 1880 en la parte de este de la península Tomis, hacía el mar. El área sobre cuál ha sido construido el nuevo edificio fue donado a la comunidad armenia por la municipalidad de Constanza para edificar una iglesia y una escuela. En 1942 la iglesia fue destruida por un incendio, por lo cual el servicio religioso tuvo que realizarse en la sala de festividades de la escuela armenia. Esta “nueva” sede, que en la actualidad se destina a refectorio en la planta baja y a espacio de culto en la primera planta, ha sido ampliada y modificada posteriormente y se le añadió un campanario, de tal forma que se parezca a una iglesia o un monasterio tradicional armenio. En el interior no hay ninguna pintura mural y hay un número limitado de iconos. La iglesia cuyo patrón es “La Asunción de la Virgen Maria” fue inaugurada el 24 de noviembre 2002 por I.P.S. Dirayr Marchidian, el jefe de las diócesis armenias de Rumanía y Bulgaria.
I.7. La Iglesia Ortodoxa Griega "Metamorphosis"
El edificio fue construido entre 1865-1868 con el acuerdo del Sultán Abdul Aziz y financiado por la comunidad griega. En Constanza ella representa la primera construcción religiosa no-musulmana de albañilería. La iglesia tiene aspecto de basílica, con dos naves rectangulares y una central, semicircular. El suelo es de mármol blanco, y el altar de madera de abeto. El pintor Radu Nicolae restauró la pintura interior en los años 80 del siglo XX. Después del 1867 el edificio sufrió unos cambios, como la adición de dos balcones laterales y del balcón del coro; entre 1992-1924 han sido obstruidas cuatro ventanas laterales ubicadas en la parte nórdica, y en 1947 se ha sido añadido un campanario, todo ello sin afectar el estilo de la arquitectura original. Desde el principio, los comerciantes de la comunidad griega dotaron a la iglesia con muchos objetos de culto (por ejemplo: cuatro grandes candelabros de Murano, una Biblia con funda de plata). En 1954 el edificio fue declarado monumento histórico. En el presente tiene el estatuto de parroquia común, rumana - griega.
II.1. El Parque de la Catedral
Es un yacimiento arqueológico muy importante, sito al lado de la Catedral Ortodoxa de "San Pedro y San Pablo". De ahí viene el nombre bajo el que está conocido: el Parque de la Catedral. La investigación arqueológica sistemática realizada en muchas campañas, entre 1971 y 1974, descubrió un área residencial del antiguo Tomis. Las dos principales calles descubiertas aquí, cerca de sus edificios adyacentes, como también de otros segmentos de la antigua malla vial, permiten hoy la identificación del modo de organización urbana de la ciudad Tomis. Debido a éste investigación resultó la más compleja y completa cronología de la antigua existencia, empezando con el siglo VI a.C., hasta el siglo V d.C. El material arqueológico descubierto en los fosos practicados en los lechos superiores demuestra que el área fue poblada también en el siglo VI d.C., pero los niveles cuales deberían sido correspondientes fueron raspados en el momento de la construcción de la catedral. Por consiguiente, el Parque de la Catedral presenta una historia de la ciudad, en períodos diferentes, y una transformación de una colonia griega en una verdadera ciudad romano-bizantino, capital de la provincia Scythia.
II.2. La Basílica Cristiana
Son conocidas muchas basílicas Cristianas que funcionaron en Tomis (Constanza) entre los siglos IV - VI d.C. Muchas de ellas están conservadas debajo de la tierra, solamente dos en presente están accesible para los visitantes. Debajo del hotel Ibis, entre las calles Negru-Vodă y Mircea cel Bătrân, se mantiene un tercio de la más grande basílica de Tomis. Éste medía en el momento del descubrimiento aproximadamente 55 metros longitud y 24 metros latitud. El ábside, orientado al este, según el costumbre cristiano, tiene una forma de pentágono. El interior estaba dividido en tres naves, a través de dos filas de columnas longitudinales. Ha sido provista con tres anexos hacia el este, como una columnata también en su lado nórdico. El acceso se hacía a través del atrio, situado al lado oeste. Fue construida en el siglo VI d.C. sobre las ruinas de un anfiteatro romano a principio de años (I-III d.C), donde se organizaban luchas con gladiadores. La basílica fue situada a lo largo de la calle principal de Tomis, que venía desde Histria y entraba en la ciudad a través de la Gran Puerta. Funcionó hasta el siglo VII d.C.
II.3. La Gran Puerta
Tenemos noticias sobre uno de los turnos que flanqueaba la Gran Puerta de la ciudad Tomis (Constanza) desde el principio del siglo XX, pero una investigación completa tuvo lugar apenas entre 1987-1998. A través de ésta puerta accedía en Tomis el camino antiguo que venía desde Histria, otro importante centro urbano griego-romano del litoral rumano. Fue un monumento imponente, parte del ámbito romano-bizantino, que defendía el lado continental de la ciudad. No fue la única entrada en la ciudad, pero fue con certeza la más importante. Tenía la más ancha apertura (ancha de aproximadamente 10 m), lo más complejo plano y lo más estratégico asentamiento. Fue construida con el ámbito romano-bizantino, al principio del siglo IV d.C., cuando fueron construidas o renovadas muchas otras construcciones de Tomis. Su misión era proteger e incluir en el espacio interior de la ciudad, un barrio que hasta entonces funcionaba fuera del ámbito romano temprano. El principal edificio cristiano, lo cual probablemente cumplía también la función de basílica obispal de Tomis, fue construida en la cercanía de la Gran Puerta.
II.4. El Parque de Arqueología y la muralla del ámbito romano-bizantino de la ciudad Tomis (Constanza)
El Parque Arqueológico se denomina así por el hecho que ha sido realizado a lo largo de las ruinas del ámbito romano-bizantino, que defendía la ciudad Tomis en la antigüedad. Fue construido en el siglo IV d.C., para incluir en el espacio defendido de la ciudad un barrio que funcionaba hasta entonces fuera del ámbito temprano. Se supone que para la defensa de Tomis funcionaron en diferentes períodos históricos, tres ámbitos. Las trayectorias de los ámbitos helénico y romano temprano están trazadas hipotéticamente, a base de las informaciones ofrecidas de las referencias escritas (la obra del poeta latín Ovidio), inscripciones, monedas, y en menor cantidad por las pruebas arqueológicas. Pero la de romano-bizantino fue investigada y puede ser visitada en el Parque Arqueológico. Están visibles dos puertas flanqueadas por torres rectangulares, las murallas que le unen, como también un torre en forma de “U” (El Torre de los Carniceros). En el siglo V d.C. el lado oeste de la fortificación ha sido desmantelado y sobrepuesto de un área poblada. Ésta, junto con un nuevo barrio formado alrededor de dos basílicas paleocristianas, fueron incluidos en el espacio intra muros, por la unión de una nueva línea de fortificación, de la cual está visible hoy en el Parque Arqueológico. Así que, el área protegida por la muralla del ámbito fue extendida. Eso fue el último momento floreciente en la historia del antiguo Tomis. En el interior del parque, en áreas diferentes, fueron emplazados otros monumentos antiguos: sarcófagos de piedra, columnas, otros monumentos arquitectónicos, tinajas en forma de ánfora para conservar comida etc. Cerca del Torre de los Carniceros, en la pared del edificio convecino, se puede ver la colocación de los asentamientos antiguos en la carta de Dobrogea. En la misma zona está expuesto el busto de Vasile Pârvan, uno de los promotores de la arqueología rumana, quien inició y manejó las investigaciones arqueológicas del Torre de los Carniceros, entre 1915 y 1916. Otra importante característica del Parque Arqueológico es la Estatua de Victoria, sentada con la figura hacia el mar y el puerto de Constanza.
II.5. Las ruinas de un torre de la muralla del ámbito romano temprano
Estas ruinas parecen hacer parte de dos sistemas de fortificación diferentes: de lo romano temprano, sobrepuesto de la fortificación otomana. El primero, construido en el siglo II d.C, ha sido desmantelado en el período Romano-Bizantino, cuando fue construida una nueva fortificación para incluir en el espacio defendido una zona más grande de la península de la ciudad Tomis (Constanza). Por trazar las tres líneas diferentes de fortificación – helénica, romana temprana y romana-bizantina – podemos observar una forma de evolución urbana para Tomis: el área poblada aumentó gradualmente, demostrando una evolución continua de la ciudad, hasta el siglo VII d.C. Una última fortificación, más reciente, data desde el período otomano. Sobre un plano moderno de la ciudad figura un asentamiento otomano fortificado de un solo lado, hacía el norte-oeste, vía una muralla con dos torres. Pero,
una litografía presenta la fortificación otomana como una línea continua, con al menos una torre más, en el lado del este, sobre el lugar donde hoy está situada la estatua del ingeniero Anghel Saligny.
II.6. El Museo de Historia Nacional y de Arqueología Constanza
Museo de Historia Nacional y de Arqueología Constanza (MHNAC) está situado en el centro antiguo de Constanza. La riqueza arqueológica de Dobrogea está presentada en sus vastos salones de exposición. El edificio mismo es un ejemplo de arquitectura rumana. Fue construido en 1921 para alojar la Alcaldía de Constanza, y en 1977 llegó a ser la sede MHNAC. Ahora, el edificio aloja y expone muchas colecciones (vidrio, joyas, numismática, pipas y arte escultural) y diversos artefactos, datando desde la prehistoria hasta la época contemporánea, dispuestas en orden cronológico en el primer y segundo piso. Muchas de las piezas expuestas en los salones MHNAC o conservadas en sus depósitos fueron descubiertas por arqueólogos en yacimientos del distrito Constanza, como: Tomis (Constanza), Histria (Istria), Capidava, Ulmetum (Pantelimon), Carsium (Hârşova), Callatis (Mangalia), Albeşti, Cheia, Oltina, etc. Unos de estos yacimientos están investigados sistemáticamente cada verano y enriquecen anualmente las colecciones del museo con nuevas piezas.
II.7. El edificio con Mosaicos Romanos
El edificio con mosaicos fue descubierto durante las obras de construcciones de unos bloques de vivienda en la costa de sudoeste de la ciudad, en 1959. El complejo monumental fue construido al principio del siglo IV d.C a tres terrazas excavadas a costa alta. Ellas fueron niveladas para asegurar la estabilidad del complejo. El edificio era situado en frente del antiguo puerto de Tomis, a donde se abría la primera serie de habitaciones en forma de bóveda, usadas como depósitos para los bienes traídos por las naves comerciales que llegaban en el puerto. El acceso hacía las siguientes terrazas se hacía a través de dos grandes escaleras de caliza. El segundo nivel era similar con el primero. Tenía once habitaciones en forma de bóveda, teniendo la misma meta como las primeras. El descubrimiento de un grupo de productos de importación depositados en dos de estas nos ofrece una imagen completa sobre las relaciones comerciales marítimas de Tomis en el período Romano-Bizantino: una cantidad impresionante de cerámica timbrada, lámparas pequeñas primitivas, imprentas de lámparas pequeñas primitivas, ánforas llenas de sustancias orgánicas (trementina, mástique, styrax, colofonia, olíbano, mirra), lingotes de mena de hierro, áncoras y ánforas que contenían clavos de acero y hierro. El plano del tercero nivel era totalmente diferente en comparación de las otros dos. Aquí se encuentra un gran salón, con una decoración interior suntuosa y muy rica y varia. Su entera área estaba cubierta de un mosaico de varios colores decorado con motivos vegetales y geométricos; el mosaico se extendía sobre un área de aproximadamente 2000 metros cuadrados, desde cuales se mantienen aproximadamente 400 metros cuadrados. Las paredes estaban placadas con mármoles de diferentes representaciones geométricos, florales o también zoomorfos y antropomorfos. Al principio, éste salón comunicaba con la ciudad a través de una entrada situada al lado de norte oeste. Más tarde, la entrada fue bloqueada con ladrillos y utilizada como nicho, la única entrada funcional quedándose la de vestibulum, situada en la esquina del oeste del salón. El edificio funcionó, con algunos cambios de la funcionalidad y el aspecto general, hasta el siglo VI d.C.
II.8. Los Baños Romanos – Lentiarion
En aproximadamente 100 metros sur del Edificio con Mosaicos se encuentra otra construcción antigua impresionante, un complejo de baños públicos, conocido bajo el nombre de Lentiarion, conservado en una inscripción situada en la parte superior del almohadillado de piedra de una entrada que daba en una pequeña habitación debajo de la escalera. Se supone que éste término indicaba la funcionalidad de la pequeña habitación: éste era el lugar donde se mantenían las sábanas de lino (linum) utilizadas para el buen funcionamiento de los baños. Éste gran complejo fue investigado sólo parcialmente por los arqueólogos: una habitación rectangular, 30 x 10 metros cuadrados, pavimentada con baldosas de piedra y prevista con tres entradas, en la parte suroeste – una hacía Lentiarion y dos hacía vestibulum, donde era situada una escalera que unía éste nivel del frente del puerto con la de la ciudad antiguo. El resto se encuentra debajo de las construcciones modernas, en la costa de sur de la península. La principal característica de éste complejo es el sistema de calefacción de cual disponía. La habitación principal, construida en la misma técnica como el edificio con mosaico, era calentada con el aire caldo que pasaba debajo del piso y por las paredes dobles. Éste edificio fue construido, probablemente, en el siglo III d.C. o más tarde, cuando fue construido el Edificio con Mosaicos.
II.9. La Basílica Cristiana
A la entrada principal del puerto comercial de Constanza se puede observar una pequeña área en el medio de la calle, donde, a un espacio verde, están conservadas las ruinas de una basílica antigua. Hoy, sólo la ábside está visible, al lado de las ruinas de un complejo rectangular más temprano (siglo IV a.C.), que fue sobrepuesto de la estructura cristiana. La funcionalidad preponderante comercial de ésta zona, situada a lo largo de la costa, en frente del puerto antiguo, sufrió cambios en el siglo V d.C., con la construcción de la basílica. Símbolos y objetos que pertenecían a las prácticas cristianas de Tomis o de la provincia Scythia pueden ser admirados en el ámbito de la exposición permanente del Museo de Historia Nacional y Arqueología de Constanza.
III.1. El Faro Carol I y el Museo del Puerto
El Faro Carol I fue construido en 1909, cerca del Pabellón real (que hospeda hoy el Museo del Puerto), para honrar y recordar las amplias obras de sistematización del puerto, que tuvieron lugar en el tiempo del rey Carol I de Rumanía. El Museo del Puerto funciona en el complejo conocido en el período entreguerras debajo del nombre del Nido de la Reina o del Pabellón Real. La construcción fue situada sobre el antiguo andén de la entrada al puerto y fue proyectada y realizada debajo la observación de Anghel Saligny, entre los años 1909-1910. La construcción inicial de madera fue renovada con ladrillo y hormigón entre los años 1927-1928. La última intervención tuvo lugar entre los años 1983-1985. El museo presenta las tradiciones y actividades del período del antiguo Tomis hasta el presente.
III.2. El Museo “Ion Jalea” fue creado con las obras donadas por el escultor Ion Jalea (1887-1983): escultura (108 obras), diseños y bocetos, relieves, estatuas, bustos. La construcción del museo es un monumento histórico, construido por estilo neo rumano entre los años 1919-1920, teniendo como arquitecto a Victor Ştefănescu. A la planta baja y al piso están expuestas obras originales y maquetas, laboradas con materiales y técnicas diferentes. La temática es variada: obras alegóricas, bocetos de frente, retratos, composiciones monumentales, etc. Delante de la casa, en la costa, se encuentra su obra maestra definitoria, "Arquero relajándose".
III.3. El Museo de Historia Nacional y Arqueología es uno de los más ricos museos de Rumanía, después del Museo Nacional de Historia. Fue creado en el año 1879 por Remus Opreanu, el primer prefecto de la administración rumana de Dobrogea. Durante aproximadamente un año, conoció períodos de declinación y florecimiento, siendo mudado en diversos lugares. En el año 1977 las piezas expuestas fueron mudadas definitivamente en la sede actual. La construcción imponente del museo fue construida en estilo arquitectural rumano al principio del siglo XX y sirvió como sede de la Alcaldía desde el año 1921. El museo dispone de un patrimonio impresionante, formado de más de 430.000 de objetos que datan desde el paleolítico hasta la época moderna.
III.4. El Museo de Arte Popular
En 1975 fue creada la colección de arte popular en el ámbito del Museo de Arte de Constanza, y en 1980 obtiene el estatuto de sección. Desde 1990 es una institución con personalidad jurídica. La exposición de base incluye todos los tipos de arte popular, repartidas por zonas etnográficas, el museo teniendo un carácter nacional. Las colecciones incluyen: cerámica, iconos a madera o vidrio, metal, vestido popular, cortezas, telas, textiles, adornos. El edificio del museo data desde 1893 y es monumento histórico y de arquitectura. Fue al principio alcaldía, después correo.
III.5. El Museo de Arte fue creado a base de la colección de pintura y escultura, provenida de la Pinacoteca de la Alcaldía de la ciudad Constanza. Se enriqueció con obras transferidas desde el Museo Nacional de Arte y por adquisiciones y donaciones hechas por Marius Bunescu, Ion Jalea, Boris Caragea. Los objetos están expuestos a los tres niveles de los dos edificios, unidos entre ellos; la primera construcción data desde 1895, teniendo elementos de decoración exterior en estilo neoclásico, la otra, moderna, fue construida entre 1980-1982. En el primer edificio, están expuestas obras firmadas por los más famosos pintores y escultores rumanos. En el segundo edificio se encuentran composiciones, retratos y paisajes de los artistas de la más reciente generación.
III.6. El Museo de la Marina fue creado en 1969 como institución de interés nacional de primera categoría, único en el país. Está situado en la sede de la antigua Escuela Superiora Naval, datando desde 1908, el complejo siendo un monumento histórico. El museo está organizado al criterio del tema cronológico y tiene muchas secciones, presentadas en 30 salones. La institución dispone de 37.800 de piezas, grupadas en 33 colecciones, presentando la historia marina rumana. El Museo de la Marina Rumana fue reconfirmado como museo de importancia nacional, el segundo del ámbito del Ministerio de la Defensa Nacional y el único de Dobrogea.
IV.1. El Casino, acuario, el faro genovés y el paseo marítimo
El Casino
En el año 1903, los ediles locales decidieron la construcción de un casino según el proyecto en estilo Art Nouveau del arquitecto Daniel Renard. Pero éste fue contestado por una parte de la opinión pública y por algunos políticos. Las obras sin embargo empezaron en 1907 y fueron finalizadas en 1910.
El Acuario está situado a la orilla del mar, precisamente en frente del imponente casino de Constanza. Inaugurado en 1 de mayo 1985, fue para un largo período la primera y única institución pública de éste tipo de nuestro país. El edificio fue construido al principio del siglo XX como anejo del Casino. El espacio está destinado a la exposición permanente de fauna y flora acuática.
El Faro genovés es un monumento histórico situado en la costa de la ciudad de Constanza, cerca del Casino y tiene una altura de aproximadamente 8 metros. Fue construido alrededor del año 1300 por los genoveses que hacían comercio en el puerto. Fue reconstruido entre los años 1858-1860 por el ingeniero francés Artin Aslan, al orden de una compañía inglesa.
El paseo marítimo está situado en el promontorio de la península y fue realizado según los estándares turísticos actuales. La costa está prevista con una barandilla con aspecto arcaico, y el espacio verde adyacente está organizado paisajístico con pérgolas, creaciones esculturales de Ion Jalea, un pozo artesiano, como también la estatua de la Reina Elisabeta de Rumanía.
IV.2. El Puerto turístico “Tomis” es una de las destinaciones famosas de la ciudad, tanto para los turistas, como para los ciudadanos. Cualquiera que sea la estación, la zona del puerto Tomis es la opción de las personas que quieren admirar el mar. El acceso al puerto es muy fácil, a través de una calle que baja hasta el golfo. A la orilla del mar están muchas terrazas y restaurantes, que sirven comidas típicas marinas. Durante el verano, el puerto es visitado muchas veces por grupos de delfines. Es también el lugar ideal para la organización de actividades náuticas.
IV.3. La Plaza Ovidiu y la avenida Tomis
La Plaza Ovidiu está situada en el centro histórico y fue completamente rehabilitada en los últimos años, llegando a ser una zona peatonal y mayor punto de atracción para los ciudadanos de Constanza y para los turistas. Debido al hecho que el número de naves de crucero está aumentando, diez miles de turistas extranjeros están esperados a visitar el centro antiguo. La estatua del poeta latino Publius Ovidius Naso domina el espacio de la plaza, siendo situada aquí después de la adquisición de la Independencia (esto era el nombre anterior de la plaza). Aquí se encuentran también el Museo de Historia Nacional y Arqueología y el Edificio con Mosaicos Romanos.
La avenida Tomis empieza desde aquí y constituye el eje E-O de la ciudad. A lo largo de la avenida están situados muchos edificios, cuales son monumentos históricos o de arquitectura. Muchos de ellos siguen a ser restaurados. Empezando con el verano de 2015, en la parte peatonal de la avenida Tomis, hacia la plaza Ovidiu, han sido abiertas muchos cafés y restaurantes, que conviden los turistas alegrarse de varias comidas de la cocina internacional o tradicional. Los turistas pueden catar varias bebidas o café, sea en el interior acogedor y caluroso de estos locales, en la estación fría, o sea en sus terrazas umbrosas, en la estación calurosa.
IV.4. El Parque Arqueológico representa un espacio con una rica vegetación, en el cual el espíritu de la antigua plaza fuerte está aún vivo. El parque se estira a un área grande, entre la Alcaldía de Constanza y la avenida Ferdinand, y sus paseos parecen ser unos salones de exposición en un museo de historia: columnas, gran vasos de cerámica y fragmentos arquitectónicos que datan del período romano-bizantino. La parte del parque cerca de la avenida Ferdinand es aún rodeada de la muralla del ámbito romano temprano, construcción que data desde los siglos IV-VI d.C., conteniendo también dos puertas de entrada en la fuerte. También aquí pueden ser observadas las ruinas del Torre de los Carniceros, restaurado en el tiempo de Iustinian. Sobre la pared del edificio situado en la extremidad este del parque se puede observar la carta de los asentamientos antiguos de Dobrogea.
IV.5. El Complejo del Museo de Ciencias Naturales es un punto importante de referencia en el paisaje cultural y científico de la ciudad, funcionando en dos lugares: el acuario cerca del casino y el complejo del museo de la Plaza Soveja, construido en 1972–1973. En éste gran espacio están emplazadas las secciones: la Microdelta, el Delfinario, el Planetário – el Observador astronómico y una exposición permanente de pájaros exóticos. El parque del complejo es una excelente zona de ocio libre, con paseos y bancos, emplazados entre los árboles y arreglos florales, todos formando un pequeño jardín dendrólogico. El patrimonio de la institución incluye sobre 30.000 de ejemplares, representando: moluscos, crustáceos, peces, pájaros y mamíferos. Así que se formaron relaciones de colaboración con muchas instituciones similares de Europa, Asia y África.
IV.6. El Parque de Tăbăcărie se extiende sobre un área de aproximadamente 100 hectáreas alrededor del lago con el mismo nombre, siendo uno de los más hermosos parques de Dobrogea y entre los más grandes del país. El parque incluye tres lagos interiores, en cuyas orillas crece una rica vegetación. Los lagos contienen islas, penínsulas e istmos que ofrecen a la zona un aspecto romántico. Un encanto aparte es dado por la multitud de puentes y puentecillos, que facilitan el acceso sobre las zonas con agua. La vegetación está formada de varios especies de árboles, típicos de las zonas lacustres: sauces, álamos, cipreses, roble rojo, pero también de castaños, abedules, hayas y magnolias. En verano, se puede dar una vuelta al parque en un pequeño tren. La pequeña iglesia de madera “Santo Mina” se refleja también en la superficie lucia del agua y ofrece un encanto aparte al parque.
Kulturelle Routen in Constanța, Rumänien
I.1. Die Orthodoxe Kathedrale "Hl. Peter und Paul " wurde in den Jahren 1883-1885 aufgrund der Pläne des Architekten Alexandru Orăscu erbaut, hat eine offene Vorhalle und drei Kuppeln. Die Möbeln sind aus Eichenholz und wurden anhand der Zeichnungen des Architekten Ion Mincu ausgeführt; gewisse Elemente sind mit Halbedelsteinen verziert und vergoldet. Der deutsche Künstler Wirnst ist für die Fenster mit Vitralien verantwortlich. Der Bischof des Bistums Dunărea de Jos (Unterdonau), Partenie Clinceni, hat die Kirche am 22 Mai 1895 eingeweiht. Da die Kirche durch Bomben (3. August 1941) teilweise beschädigt wurde, fanden umfangreiche Restaurierungsarbeiten statt. Die Maler Gh. Popescu und N. Dona Delavrancea führten die Wandmalereien in der fresko-Technik aus. (1959-1965). Die Heiligen Märthyrer des frühen Christentums in Dobrutscha wurden ebenfalls in ikonographischen Medaillons dargestellt (zum Beispiel der Hl. Kyrill aus Axiopolis, der Hl. Maxim und der Hl. Emilian von Durostorum. Seit 1923 übernimmt der sakrale Bau die Rolle einer Kathedrale, seit 2001 hat er den Status eines Klosters. Hier werden Reliquien der Hl. Großen Märthyrers Pantelimon, des Hl. Auxentius, des Hl. Symeon Stylites, der Hl. Epictet und Astion.
I.2. Die Römisch-Katholische Kirche "Hl. Antonius von Padua" in Constanta wurde in den Jahren 1935-1937 nach den Plänen und unter der Leitung des Bukarester Architekten Romano de Simon errichtet. Die Kirche wurde anstelle der ehemaligen Kapelle aus dem Jahr 1885 erbaut. Der aktuelle Ziegelbau ist eine romanische Basilika, nach dem nord-italienischen Muster, spezifisch für das 18. Jahrhundert. Im Kircheninneren ist ebenfalls freiliegendes Ziegelwerk zu finden, was die Verputzung weder erfordert noch erlaubt.
I.3. Carol-I.-Moschee
Die Moschee wurde mit rumänischen öffentlichen Fonds in den Jahren 1910-1913 aus Stein und Ziegelwerk errichtet, mit Ausnahme der Kuppel und des Minaretts aus Stahlbeton. Die Pläne wurden vom Architekten Victor Gh. Ştefănescu ausgearbeitet. Für die Ausführung ist der Erfinder Gogu Constantinescu verantwortlich; es handelt sich dabei um den ersten Bau aus Mauerwerk und Stahlbeton in Rumänien. Die Moschee, mit einer Fläche von 450 m², einer 25 m hohen Kuppel und einem Minarett mit einer Höhe von 47 m (die Innentreppe hat 140 Stufen), wurde auf der Stelle einer alten Moschee (Mahmudia, erbaut 1822) errichtet, von der der im maurischen Stil ausgeführte Mihrab (Altar) erhalten geblieben ist. Inschriften mit den 99 Namen Gottes sind rund um den Mihrab zu finden. Seit 1965 befindet sich die Moschee in Besitz eines handgewebten, 200 Jahre alten Teppichs aus Hereke (Türkei), der 490 kg wiegt und 144 m² misst, ein Geschenk des Sultans Abdülhamid an die Moschee der Insel Ada Kaleh, inzwischen versunken.
I.4. Jüdische Synagoge
Der israelische Tempel im peninsularischen Viertel der Stadt wurde ab 1910 nach den Plänen des Architekten Anghel Păunescu erbaut. Aus Stein und Ziegeln ausgeführt, hat der Bau ein Gewölbe mit abgerundeten dekorativen Profilen, dreiteilige enge Fenster im oberen Geschoß und rechteckige Fenster unten. Die Hauptfassade, ursprünglich mit einer Monumentaltreppe ausgestattet, ist weniger breit als die seitliche Fassade und oben mit dem Davidstern versehen. Schlichte Innenarchitektur, mit zwei Kolonnaden. Der Bau beweist gegenwärtig einen hohen Verfallsgrad auf.
I.5. Hunchiar-Moschee
Die Moschee liegt in der historischen Gegend der Stadt. Das nicht besonders große Gotteshaus hat eine riesige Bedeutung für die Multikulturalität von Constanţa als ältestes islamisches religiöses Bauwerk der Stadt. Zu Beginn des 19. Jahrhundert war Constanţa durch eine Verteidigungsmauer, die von den damals in Dobrutscha regierenden Türken erbaut wurde, abgegrenzt. Die Mauer wurde in den Jahren 1828 – 1829 zerstört. Mit den Mauerresten wurde dann 1867 die Hunchiar-Moschee erbaut, deren Name türkisch „Gouverneur” bedeutet.
I.6. Armenische Kirche ”Hl. Maria”
Die erste armenische Kirche in Constanţa wurde um etwa 1740 errichtet. Der Grundstein für die zweite Kirche wurde 1880 von dem Erbauer Nazaret Torosian im östlichen Teil der tomitanischen Halbinsel Richtung Meer gelegt. Das Grundstück wurde vom Munizipium Constanţa der armenischen Gemeinschaft für den Bau einer Kirche und einer Schule geschenkt. 1942 wurde die Kirche durch einen Brand zerstört und die Gottesdienste mussten in einem Saal der armenischen Schule durchgeführt werden. Dieser „neue” Sitz, der heute als Refektorium (Erdgeschoß) und als Gotteshaus (erster Stock) dient, wurde später um einen Glockenturm bereichert und so umgebaut, dass er einem traditionellen armenischen Sakralbau entspricht. Das Kircheninnere hat keine Wandgemälde und nur wenige Heiligenbilder. Die Kirche ist der „Mariä Entschlafung” gewidmet und wurde am 24 November 2002 vom Hochwürdigsten Dirayr Marchidian, Erzbischof der armenischen Diözesen in Rumänien und Bulgarien, eingeweiht.
I.7. Griechisch-Orthodoxe Kirche "Metamorphosis"
Das Gebäude wurde in den Jahren 1865-1868 mit der Zustimmung des Sultans Abdülaziz und mit Finanzierung durch die griechische Gemeinschaft errichtet. In Constanţa handelt es sich um den ersten nicht islamischen Sakralbau aus Mauerwerk. Die Kirche ist als Basilika, mit zwei seitlichen, rechteckigen Schiffen und einem zentralen, halbkreisförmigen Schiff. Der Boden ist aus weißem Marmor, der Altar aus Tannenholz. Der Maler Radu Nicolae hat die Wandmalereien in das Kircheninnere in den Achtzigern des 20. Jahrhundert restauriert. Nach 1867 wurden Umbauarbeiten vorgenommen, es wurden zwei Balkons seitlich und ein Erker hinzugefügt; 1922-1924 wurden auf der nördlichen Seite vier Seitenfenster zugemauert und 1947 wurde ein Glockenturm hinzugebaut, ohne den ursprünglichen architektonischen Stil zu ändern. Die Kaufleute der griechischen Gemeinschaft haben die Kirche bereits seit ihrer Einweihung mit zahlreichen Kultgegenständen ausgestattet (z.B. vier Murano-Armleuchter, eine in Silber gefasste Bibel). 1954 wurde der Sakralbau zum historischen Denkmal erklärt. Gegenwärtig hat die Kirche den Status einer gemeinsamen rumänisch-griechischen Pfarrei.
II.1. Kathedralenpark
Es handelt sich um eine besonders wichtige Grabungsstätte in der Nähe der Orthodoxen Kathedrale Hl. Peter und Paul. Daher auch der Name: Kathedralenpark. Die systematischen archeologischen Grabungen zwischen 1971 und 1972 ließen einen Teil der Wohngegend der antiken Stadt Tomis das Licht erblicken. Die hier entdeckten zwei Hauptstraßen zusammen mit den anliegenden Gebäuden, sowie weitere Segmente des antiken Straßennetzes ermöglichen heute einen Überblick über die Organisierung der Stadt Tomis. Infolge der Untersuchungen ergibt sich die komplexeste und vollständigste Stratigraphie des antiken Lebens, angefangen mit dem 6. Jahrhundert v.Chr. und bis in das 5. Jahrhundert n.Chr. Die archeologischen Funde in den oberen Schichten beweisen, dass die Gegend im 6. Jahrhundert n. Chr. noch bewohnt war, die Schichten wurden jedoch bei dem Bau der Kathedrale zerstört. Der Kathedralenpark wiederspiegelt damit die Geschichte der Stadt in verschiedenen Epochen, die Umwandlung einer griechischen Kolonie in eine römisch-byzantinische Stadt, Hauptstadt der Provinz Scythia.
II.2. Christiliche Basilika
Es sind mehrere christilichen Basiliken bekannt, die in Tomis (Constanța) zwischen dem 4. Und dem 6. Jahrhundert n.Chr. aktiv waren. Viele davon sind im Untergrund konserviert und nur zwei sind für Besucher zugänglich. Unter dem Hotel Ibis, zwischen den Straßen Negru-Vodă und Mircea cel Bătrân, befindet sich ein Drittel der größten Basilika in Tomis. Zum Zeitpunkt der Entdeckung war diese 55 Meter lang und 24 Meter breit. Die dem Osten zu gerichtete Apsis ist fünfeckig, entsprechend den christlichen Bräuchen. Das Kircheninnere war durch zwei Reihen von longitudinalen Kolonnen in drei Schiffe eingeteilt. Drei Nebenräume östlich sowie eine Kolonnade auf der nördlichen Seite. Die Kirche wurde durch das Atrium auf der westlichen Seite betreten. Sie wurde im 6. Jahrhundert n.Chr. auf den Ruinen eines frühen römischen Amphitheathers (1.-3. Jahrhundert n.Chr.), in welchem Gladiatorenkämpfe stattfanden, errichtet. Die Basilika wurde entlang der Hauptstraße von Tomis gebaut, die von durch das Große Tor die Stadt erreichte. Die Basilika war bis im 7. Jahrhundert n. Chr. aktiv.
II.3. Großes Tor
Wir haben bereits seit Anfang des 20. Jahrhunderts Angaben über einen der Türme, der das Große Tor der Stadt Tomis (Constanța) seitlich abgrenzte, umfangreiche Forschungen wurden jedoch erst zwischen 1987 und 1998 durchgeführt. Durch dieses Tor erreichte die Stadt die Straße, die von Histria kam, ein weiteres wichtiges griechisch-römisches Zentrum am rumänischen Schwarzen Meer. Es handelte sich um ein beeindruckendes Denkmal, Teil der römisch-byzantinischen Mauer, die die kontinentale Seite der Stadt schützte. Es war nicht das einzige Tor der Stadt, aber mit Sicherheit das wichtigste. Es hatte die größte Öffnung (ca. 10 Meter), den komplexesten Plan und die beste strategische Lage. Das Tor wurde gleichzeitig mit der römisch-byzantinischen Innenstadt am Anfang des 4. Jahrhunderts n.Chr. gebaut, als viele andere tomitanische Bauten errichtet oder saniert wurden. Es war dazu bestimmt, ein Viertel, das bis dahin außerhalb der frühen römischen Stadt lag, einzugliedern und zu schützen. Das wichtigste Gotteshaus, das wahrscheinlich auch als Bistumskirche von Tomis diente, wurde in der unmittelbaren Nähe des Großen Tores erbaut.
II.4. Archeologischer Park und römisch-byzantinische Mauer der Stadt Tomis (Constanța)
Der archeologische Park führt diesen Namen, weil er entlang der Ruinen der römisch-byzantinischen Mauer, die die Stadt Tomis in der Antike schützte, angelegt wurde. Die wurde Anfang des 4. Jahrhunderts n.Chr. gebaut, um ein Viertel, das bis dahin außerhalb der frühen römischen Stadt lag, einzugliedern und zu schützen. Es wird angenommen, dass für den Schutz der Stadt in verschiedenen geschichtlichen Zeiträumen drei Mauernlinien gebaut wurden. Die Trassen der hellenistischen und frühen römischen mauern sind hypothetisch dargestellt, aufgrund der schriftlichen Quellen (Wert des lateinischen Dichters Ovidius), Inschriften, Münzen, und weniger anhand archeologischer Funde. Die römisch-byzantinischen Mauern wurden jedoch erforscht und können im Archeologischen Park besichtigt werden. Es sind zwei Tore mit rechteckigen Türmen sichtbar, die Schutzmauern dazwischen, sowie ein U-förmiger Turm (Fleischerturm). Im 5. Jahrhundert n.Chr. wurde der westliche Teil der Festung zum Teil abgerissen, um einer Wohngegend zu weichen. Diese, zusammen mit einem neuen Viertel, das um zwei altchristliche Basiliken gegründet wurde, lagen zwischen den Mauern, infolge des Baus einer neuen Schutzlinie, anliegend an die mauer, die heute im Archeologischen Park zu sehen ist. Die von der Festung geschützte Gegend wurde damit erweitert.
Auf dem Parkgelände wurden an verschiedenen Orten zusätzliche archeologische Funde ausgestellt: Steinsarkophage, Kolonnen, sonstige architektonischen Elemente, Tongefäße usw. Neben dem Fleischerturm, auf der freiliegenden Außenwand des benachbarten Gebäudes, kann eine Karte der antiken Orte in Dobrutscha besichtigt werden. Ebenfalls in diesem Bereich befindet sich die Statue eines der Vorgänger der rumänischen Archeologie, Vasile Pârvan, der die archeologischen Grabungen am Fleischerturm in den Jahren 1915-1916 geführt hat. Die Öffnung des Archeologischen Parks Richtung Hafen ist von der Siegesstatue markiert, mit dem Gesicht zum Meer.
II.5. Ruinen eines Turms der früh-römischen Schutzmauer
Diese Ruinen scheinen zu zwei verschiedenen Festungssystemen zu gehören: die früh-römische Mauer, darüber die osmanische Festung. Die erste Mauer stammt aus dem 2. Jahrhundert n. Chr. Und wurde in der römisch-byzantinischen Zeit zum Teil abgerissen, als eine neue Festung gebaut wurde, die einen größeren peninsularen Teil der Stadt Tomis (Constanța) schützte. Durch die Trassierung der drei verschiedenen Festungslinien – griechische, früh-römische und römisch-byzantinische Mauern – können wir Schlußfolgerungen in Bezug auf die städtische Entwicklung von Tomis ziehen: die Wohngegend wurde immer größer, was von einer kontinuierlichen Entwicklung der Stadt bis ins 7. Jahrhundert n. Chr. Hinein zeugt. Eine letzte, neuere Festungslinie, stammt aus der osmanischen Zeit. Auf einem modernen Plan der Stadt ist eine lediglich nach Nord-Osten, durch eine Mauer mit zwei Türmen, gefestigte osmanische Niederlassung dasgestellt. Eine Litographie dagegen stellt die osmanische Festung als kontinuierliche Linie dar, mit einem zusätzlichen, östlichen Turm, an der Stelle, wo heute die Statue des Ing. Anghel Saligny zu finden ist.
II.6. Geschichtliches und Archeologisches Nationalmuseum Constanţa
Das Geschichtliche und Archeologische Nationalmuseum Constanţa (MINAC) befindet sich in der Altstadt. Der archeologische Reichtum Dobrutschas wird in den großflächigen Ausstellungsräumen exponiert. Das Gebäude selbst ist ein Beispiel an rumänischer Architektur. Es wurde 1921 als Rathaus der Stadt Constanţei errichtet, ab1977 dient es als Sitz des MINAC. Gegenwärtig sind im Museum zahlreiche Sammlungen (Glas, Schmuck, Münzen, Pfeifen und Skulptur) und verschiedene archeologische Funde in chronologischer Reihenfolge – von der Prähisdtorie und bis zur Gegenwart - im ersten und zweiten Stock ausgestellt. Viele der Exponate und der in den Lagern des Museeums konservierten Gegenstände wurden von den Archeologen in Grabungsstätten auf dem Territorium des Kreises Constanţa entdeckt, wie: Tomis (Constanţa), Histria (Istria), Capidava, Ulmetum (Pantelimon), Carsium (Hârşova), Callatis (Mangalia), Albeşti, Cheia, Oltina, usw. Mehrere dieser Grabungsstätten werden alljährlich im Sommer systematisch erforscht und bereichern kontinuierlich die Sammlungen des Museeums.
II.7. Mosaikgebäude
Das Mosaikgebäude wurde 1959 anlässlich des Baus von Wohnblocks a der süd-westlichen Promenade entdeckt. Der monumentale Gebäude wurde Anfang des 4. Jahrhunderts n.Chr. auf drei Terassen am hohen Meeresufer gebaut. Sie wurden geebnet, um die Stabilität des Gebäudes sicherzustellen. Der Bau befand sich genau vor dem Hafen von Tomis, in Richtung dessen sich die erste Reihe von gewölbten Räumen öffnete, Lagerräume für die von den Handelsschiffen verfrachteten Güter. Der Zugang zu den zwei nächsten Terassen wur durch massive Kalkartreppen sichergestellt. Der zweite Stock war dem ersten ähnlich: elf gewölbte Räume mit der gleichen Bestimmung. Die Entdeckung einer Importproduktgruppe in zwei dieser Räume bietet uns einen Überblick des Seehandels, der von Tomis in der römisch-byzantinischen Zeit durchgeführt wurde: eine beeindruckende Menge an gestempelter Keramik, Lampen, Amphoren, gefüllt mit organischen Stoffen (Terpentin, Mastix, Styrax, Kolophonium, Weihrauch, Myrhhe), Eisenerz, Ankern und Amphoren mit Eisennägeln.
Die dritte Ebene unterscheidet sich wesentlich von den beiden anderen. Hier befand sich ein großer Saal mit einem reich ausgestattetem Innenraum. Die gesamte Bodenfläche war mit buntem Mosaik mit vegetalen und geometrischen Mustern bedeckt; ursprünglich waren es etwa 2000 Quadratmeter Mosaik, davon sind ca. 400 Quadratmeter erhalten geblieben. Die Wände waren mit Marmorplatten mit verschiedenen geometrischen Darstellungen, Blumenmustern und sogar zoomorphen und antropomorphen Motiven bedeckt. Ursprünglich kommunizierte der Saal mit der Stadt durch einen nord-östlichen Eingang. Später wurde der Eingang zugemauert und als Nische verwendet, wobei der einzige funktionelle Eingang im Vestibulum, in der westlichen Ecke des Saales, zu finden war. Das Gebäude wurde mit einigen Änderungen bis ins 6. Jahrhundert n.Chr. genutzt.
II.8. Römische Bäder – Lentiarion
Etwa 100 m südlich des Mosaikgebäudes befindet sich ein anderes antikes monumentales Werk, ein Komplex öffentlicher Bäder, bekannt als Lentiarion, gemäß einer Inschrift die im oberen Teil eines Eingangs, der zu einem kleinen Raum unter dem Treppenhaus führte, erhalten geblieben ist. Es wird angenommen, dass dieser Begriff die Funktionalität des Raumes beschreibt: es wurden hier die Leinentücher (linum), die für die gute Funktion der Bäder verwendet wurden, aufbewahrt. Der Badkomplex wurde lediglich zum Teil von den Archeologen erforscht: ein rechteckiger Raum, 30 x 10 Quadratmeter, belegt mit Steinplatten und vorgesehen mit drei Ausgängen, auf der süd-westlichen Seite – eine zum Lentiarion und zwei zum Vestibulum, wo sich eine Treppe befand, die das Stockwerk vor dem Hafen mit der antiken Stadt verband. Der Rest der Bäder befindet sich unter den modernen Gebäuden an der südlichen Promenade der Halbinsel. Die Hauptcharakteristik dieses Gebäudes ist das Heizungssystem. Der Zentralraum, in der gleichen Technik wie das Mosaikgebäude ausgeführt, wurde mit der warmen Luft, die unter dem Bodenbelag und durch die Doppelwände strömte, beheizt. Der Bau stammt wahrscheinlich wie auch das Mosaikgebäude aus dem 3. Jahrhundert n.Chr. oder wurde zu einem späteren Zeitpunkt errichtet.
II.9. Christliche Basilika
Am Haupteingang des Handelshafens Constanţa kann in der Mitte der Fahrbahn eine kleine Grünfläche beobachtet werden, auf der die Ruinen einer antiken Basilika konserviert sind. Heute ist nur noch die Apsis neben den Ruinen eines früheren rechteckigen Komplexes ($. Jahrhundert n. Chr.) sichtbar. Die hauptsächlich komerzielle Bestimmung dieser Gegend am Meeresurfer, vor dem antiken Hafen, wurde im 5. Jahrhundert n. Chr. mit der Errichtung der Basilika zum Teil umgewandelt.Religiöse Symbole und Kultgegenstände, die den christlichen Praktiken in Tomis oder in der Provinz Scythia dienten, können im Rahmen der dauerhaften Ausstellung des Geschichtlichen und Archeologischen Nationalmuseums Constanţa bewundert werden.
III.1. Karl I. - Leuchtturm Und Hafenmuseum
Der Karl I.-Leuchtturm wurde im Jahre 1909 in der Nähe des Königlichen Pavillons (heute Hafenmuseum) errichtet, um der Hafensystematisierungsarbeiten, die während der Regierungszeit des Königs Karl I. von Rumänien ausgeführt wurden, zu gedenken. Das Hafenmuseum hat seinen Sitz in dem Gebäude, das in der Zwischenkriegszeit als Nest der Königin oder Königliches Pavillon bekannt war. Das Gebäude befindet sich auf dem ehemaligen Damm am Hafeneingang und wurde unter der direkten Leitung von Anghel Saligny in den Jahren 1909-1910 geplant und gebaut. Der ursprüngliche Holzbau wurde 1927-1928 durch Ziegelwerk und Beton ersetzt. Der letzte Eingriff fand in den Jahren 1983-1985 statt. Das Museum ermöglicht einen Blick auf die Hafentraditionen und –Tätigkeiten, seit der Antike und bis in die Gegenwart.
III.2. Das”Ion Jalea” - Museum wurde mit den von dem plastischen Künstler Ion Jalea geschenkten Werken gegründet(1887-1983): Skulptur (108 Werke), Zeichnungen und Skizzen, Reliefs, Statuen und Büsten. Das Museumsgebäude ist als historisches Denkmal eingestuft, wurde im neurumänischen Stil zwischen 1919 und 1920 nach den Plänen des Architekten Victor Ştefănescu gebaut. Im Erdgeschoß und auf der Etage sind Originalwerke und Maketten ausgestellt, Werke, die mit verschiedenen Materialien und Techniken geschaffen wurden. Die Thematik ist divers: allegorische Werke, Kriegsbilder, Portraits, monumentale Kompositionen usw. Vor dem Haus, auf der Promenade, kann man das bekannteste Werk des Künstlers bewundern, „Ruhender Bogenschütze”.
III.3. Das Geschichtliche und Archeologische Nationalmuseum Constanţa ist eines der reichsten rumänischen Museen und die zweitgrößte Institution auf diesem Gebiet, nach dem Nationalen Geschichtsmuseum. Es wurde 1879 von Remus Opreanu, der erste Präfekt der rumänischen Verwaltung in Dobrutscha, gegründet. Im Laufe eines Jahrhunderts erlebte das Museum gute und schlechte Zeiten, musste wiederholt seinen Sitz wechseln.1977 wurden die Exponate endgültig in das heutige Museumsgebäude gebracht. Das beeidruckende Gebäude im rumänischen architektonischen Stil wurde zu Beginn des 20. Jahrhunderts errichtet und diente ab 1921 als Rathaus. Das Museum hat ein beeindruckendes Vermögen, über 430.000 Gegenstände, aus der Altsteinzeit und bis in die moderne Epoche hinein.
III.4. Museum der Volkskunst
1975 wurde die Volkskunstsammlung im Rahmen des Kunstmuseums Constanţa gegründet, seit 1980 erhielt sie den Status einer Museumsabteilung. Seit 1990 ist sie eine Institution mit Rechtspersönlichkeit. Die Grundausstellung deckt alle Genres der Volkskunst, nach ethnographischen Gegenden verteilt, wobei das Museum nationalen Charakter hat. Die Sammlungen umfassen: Keramik, Heiligenbilder auf Holz, Glas und Metall, Trachten, handgewebte Teppiche, Textilien, Schmuck. Das Museumsgebäude stammt aus dem Jahr 1893 und ist als historisches und Architekturdenkmal eingestuft. Ursprünglich diente es als Rathaus, später als Postamt.
III.5. Das Kunstmuseum wurde aufgrund der Bilder- und Skulptursammlung der Pynakothek des Rathauses Constanţa gegründet. Die Kollektion wurde durch Übertragungen vom Nationalen Kunstmuseum, durch Anschaffungen und Schenkungen der Künstler Marius Bunescu, Ion Jalea, Boris Caragea bereichert. Die Exponate sind auf drei Stockwerken der beiden Gebäude, die miteinander verbunden sind, ausgestellt; das erste Gebäude stammt aus dem Jahr 1895 und weist neoklassizistische Elemente aus, das zweite, moderne Gebäude, wurde in den Jahren 1980-1982 errichtet. Im ersten Gebäude können Werke der bekanntesten rumänischen Maler und Bildhauer bewundert werden. Im zweiten Gebäude sind Kompositionen, Portraits und Landschaften der Künstler neuerer Generationen ausgestellt.
III.6. Das Marinemuseum wurde 1969 als Institution von nationalem Interesse I. Grades gegründet und ist einzigartig im ganzen Land. Sitz des Museums ist die ehemalige Marineoberschule, gebaut im Jahr 1908 und historisches Denkmal. Das Museum ist nach Themen und chronologisch organisiert, hat mehrere Abteilungen und 30 Säle. Die Institution verfügt über 37.800 Exponate, gruppiert in 33 Sammlungen, die ein Bild der rumänischen Marine liefern. Das Museum der Rumänischen Marine wurde als Museum von nationalem Interesse bestätigt, das zweite im Rahmen des Verteidigungsministeriums und das einzige in Dobrutscha.
IV.1. Casino, Aquarium und Promenade
Casino
1903 entschieden die Lokalbehörden, ein Casino im Jugendstil nach den Plänen des Architekten Daniel Renard zu bauen. Der Plan wurde von einem Teil der Öffentlichkeit und von bestimmten politischen Parteien angefochten. Trotzdem begannen die Arbeiten 1907 und wurden 1910 fertiggestellt.
Das Aquarium liegt am Meeresufer, unmittelbar vor dem Casino. Es wurde am 1 Mai 1958 eingeweiht und war lange Zeit die einzige öffentliche Institution dieser Art in Rumänien. Das Gebäude wurde Anfang der 20. Jahrhunderts als Anlage zum Casino errichtet. Es beherbergt die dauerhafte Meeresflora- und Faunaausstellung.
Der genovesische Leuchtturm ist ein historisches Denkmal an der Promenade der Stadt Constanţa, in der Nähe des Casinos, und ist ca. 8 Meter hoch. Er wurde um das Jahr 1300 von den Genovesern Handelsleuten gebaut. 1858-1860 wurde er von dem französischen Ingenieur Artin Aslan im Auftrag eines englischen Unternehmens wiedergebaut.
Die Promenade liegt am Meeresufer der Halbinsel und wurde entsprechend den aktuellen touristischen Standards gestaltet. Die Promenade ist mit einer Balustrade mit archaischem Erscheinungsbild versehen und die dazugehörende Grünfläche ist mit Pergolen, Skulpturen des Künstlers Ion Jalea, einem Springbrunnen sowie einer Statue der Königin Elisabeth (zu Wied) von Rumänien ausgestattet.
IV.2. Der touristische Hafen “Tomis” ist eines der meistbesuchten Plätze der Stadt, sowohl für Touristen als auch für die Einwohner der Stadt. Unabhängig der Saison ist der Hafen Tomis die Wahl derer, die das Meer bewundern möchten. Der Zugang zum Hafen ist sehr einfach, durch eine Straße die zum Golf runterfährt. Am Ufer sind zahlreiche Terrassen und Restaurants zu finden, die Fischspezialitäten bieten. Im Sommer wird der Hafen häufig von Delphinen besucht. Außerdem ist er der ideale Ort für Wassersport- und Freizeitveranstaltungen.
IV.3. Ovidius-Marktplatz und Tomis-Boulevard
Der Ovidius-Marktplatz liegt in der historischen Altstadt und wurde in den letzten Jahren komplett neugestaltet. Die Fußgängerzone ist zum Hauptattraktionspunkt für die Einwohner von Constanţa und für Touristen geworden. Angesichts der wachsenden Anzahl an Kreuzfahrtschiffen, werden Zehntausende ausländische Touristen im historischen Zentrum erwartet. Die Statue des lateinischen Dichters Publius Ovidius Naso dominiert den Marktplatz und wurde hier nach Erklärung der Unabhängigkeit (das war der ehemalige Name des Marktplatzes) aufgestellt. Ebenfalls hier befinden sich das Geschichtliche und Archäologische Nationalmuseum und das Römische Mosaikgebäude.
Der Tomis-Boulevard beginnt hier, am Marktplatz und durchquert die Stadt auf ihrer Ost-westlichen Achse. Entlang des Boulevards sind zahlreiche historische oder architektonische Denkmäler zu besichtigen. Viele davon werden in naher Zukunft saniert werden. Seit dem Sommer 2015 wurden in der Fußgängerzone des Boulevards, Richtung Ovidius-Marktplatz, mehrere Kaffees und Restaurants eröffnet, welche die Touristen mit internationalen und traditionell rumänischen Gerichten anlocken. Die Touristen können verschiedene Getränke oder Kaffeesorten sowohl im Winter, in den gemütlichen Lokalen, genießen.
IV.4. Der archäologische Park ist eine vegetationsreiche Grünfläche, in der die Seele der antiken Festung Tomis noch lebt. Der Park ist großflächig angelegt, zwischen dem Rathaus Constanţa und dem Ferdinand-Boulevard, die Alleen sind den Sälen in einem Gerichtsmuseum ähnlich: Kolonnen, riesige Amphoren und architektonische Elemente aus der römisch-byzantinischen Zeit. Die Parkseite zum Ferdinand-Boulevard ist immer noch durch die spätrömische Schutzmauer (4.-6. Jahrhundert n. Chr.) mit zwei Toren abgegrenzt. Ebenfalls hier können die Ruinen des Fleischerturms, der zu Justinians Zeiten saniert wurde, besichtigt werden. Tot. Auf der Außenwand des Gebäudes im Osten des Parks kann eine Karte der antiken Niederlassungen in Dobrutscha eingesehen werden.
IV.5. Das Museumskomplex für Naturwissenschaften ist ein wichtiger Punkt auf der kulturellen und wissenschaftlichen Karte der Stadt und umfasst zwei Gebäude: das Aquarium beim Casino und der Museumskomplex auf dem Soveja-Marktplatz, errichtet 1972–1973. Hier sind folgende Abteilungen zu finden: Mikrodelta, Delphinarium, Planetarium – Sternwarte und eine dauerhafte Ausstellung exotischer Vögel. Der Museumspark sorgt für Entspannung, mit Alleen und Bänke, mit Bäumen und pflanzliche Arrangements, die zusammen einen dendrologischen Minigarten bilden. Das Vermögen der Institution umfasst über 30.000 Exponate, darunter: Weichtiere, Krebstiere, Vögel und Säugetiere. In diesem Sinne wurden Zusammenarbeiten mit zahlreichen Profilinstitutionen in Europa, Asien und Afrika gestartet.
IV.6. Der Tăbăcărie-Park streckt sich auf einer Fläche von 100 ha um den gleichnamigen See aus. Es handelt sich dabei um einen des schönsten Parks aus Dobrutscha und einen der größten Parks im ganzen Land. Der Park umfasst drei Teiche mit reicher Vegetation am Ufer. Die Teiche haben Inseln, Halbinseln und Isthmen, die der Gegend ein romantisches Erscheinungsbild verleihen. Besonders anziehend sind die zahlreichen Brücken und Stege, die bei der Überquerung der wasserreichen Gegenden helfen. Die Vegetation besteht aus verschiedenen Baumarten, die den Seegegenden spezifisch sind: Weiden, Pappeln, Sumpfzypressen, Roteichen, andererseits aber auch Kastanien, Buchen und Magnolien. Im Sommer kann eine Parktour mit der touristischen Bahn gebucht werden. Die kleine Holzkirche „Heilige Mina” widerspiegelt sich im Wasser und verleiht dem Park einen besonderen Zauber
TR
ES
DE
RU
BG
FR
Adresa: Piața Ovidiu nr. 12,
900745, Constanța.
Tel./Fax: +4 0241 618 763
E-mail: minaconstanta@gmail.com
date de contact
caută în site
Copyright © 2015 Muzeul de Istorie Națională și Arheologie Constanța